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/ Hubert - Ferdinand
[center][size=18][b][img=100x100]https://communaute-fireemblem.fr/upload/images/5d3894528e54fb2967fe3f706ad13a9fed4ea162.png[/img] Hubert - Ferdinand [/b][/size][img=100x100]https://communaute-fireemblem.fr/upload/images/07fc6d830f8e249b595e0b811ee3cdd235f109dd.png[/img][/center] [justify] [b][u]Rang C[/u] (Nuées Blanches/Fleur Vermeille)[/b] [b]Ferdinand :[/b] Hmm... Cette idée me permettra de prendre le dessus sur Edelgard. [b]Hubert :[/b] Vous recommencez. [b]Ferdinand :[/b] Hubert ! Je vous saurais gré de vous annoncer à l'avenir. [b]Hubert :[/b] Ha ha. Ma présence ne vous aurait peut-être pas échappé si votre esprit n'était pas tout entier consacré à ourdir quelque sédition. [b]Ferdinand :[/b] Oh, je vous en prie. « Sédition » ? Il s'agit là d'un projet de première importance. [b]Hubert :[/b] Oui, j'ai entendu. Une nouvelle machination pour montrer à quel point vous surpassez dame Edelgard. Ce n'est pas votre rivale, Ferdinand, mais votre supérieure. Il convient pour un noble tel que vous de demeurer à sa place. [b]Ferdinand :[/b] Ha ha ! Je puis tout souffrir, plutôt qu'être un noble tel que vous. « Edelgard a effectué ceci », « Edelgard s'est rendue là »... Nul autre sujet ne sort de votre bouche. Ne pensez-vous donc jamais par vous-même ? Vous la suivez comme un petit chien. Vous vous inquiétez pour elle du matin au soir, et jamais vous n'exprimez la moindre opinion personnelle. [b]Hubert :[/b] Votre charabia est fatigant. J'espère donc vous le rappeler pour la dernière fois. Dame Edelgard est une princesse impériale. Vous n'êtes que le rejeton d'un chancelier/Dame Edelgard est votre impératrice. Vous n'êtes jamais que son larbin. [b]Ferdinand :[/b] Oui, j'entends bien. Cependant, il est du devoir d'un serviteur de prodiguer de francs conseils si elle vient à se fourvoyer. Voilà le dessein dans lequel j'investis toutes mes forces. Ainsi, je n'applique un tel zèle à surpasser Edelgard qu'afin d'être mieux préparé à l'éventualité qu'elle me demande conseil. S'il vous est trop « fatigant » de vous forger une opinion personnelle, vous ne serez jamais un conseiller digne de ce nom. [b]Hubert :[/b] Les torrents de détritus qui se déversent de votre bouche ne tarissent-ils donc jamais ? Votre façon de ne considérer que la surface des choses est répugnante. Il suffit. Votre cas est désespéré. Je m'en vais. [b]Ferdinand :[/b] Je n'ai rien à ajouter. Du balai. [b][u]Rang B[/u] (Fleur Vermeille)[/b] [b]Hubert :[/b] Portez-leur cette missive. Menacez-les. Faites ce que vous jugerez nécessaire. Allez ! Soldat impérial : À vos ordres ! [b]Ferdinand :[/b] Hubert... Cette missive est-elle celle à laquelle je pense ? [b]Hubert :[/b] Vous me prenez la main dans le sac. Soit. [b]Ferdinand :[/b] Mais Edelgard... [b]Hubert :[/b] M'a expressément défendu de l'envoyer. Je sais. [b]Ferdinand :[/b] Je ne puis le croire ! Vous avez contrevenu à un ordre direct ? Je vous croyais dévoué à elle. [b]Hubert :[/b] Mon dévouement est inflexible. Je n'entreprends rien qui ne favorise les intérêts de ma maîtresse. D'ailleurs, je crois me souvenir de raisonnements similaires de votre part. Le devoir d'un serviteur n'est-il pas de reconduire sur le bon chemin le maître qui s'est fourvoyé ? N'avez-vous pas dit cela tantôt ? [b]Ferdinand :[/b] Si fait, mais pas à son insu ! Lorsque l'on désapprouve son maître, il convient de le lui signifier de vive voix. Sinon, à quoi bon ? [b]Hubert :[/b] Le propos n'est pas là. Qu'elle en ait connaissance ou non, la volonté de dame Edelgard est honorée. Je n'ai nul besoin de l'importuner avec des broutilles. Seuls comptent les résultats. [b]Ferdinand :[/b] Vous vous fourvoyez tout à fait ! S'il me semble qu'Edelgard s'engage dans une voie peu sage, je l'en avise directement. Il arrive par ailleurs qu'au gré de notre conversation, je m'aperçoive que c'est moi qui étais dans l'erreur. Faire fi de ce protocole et prendre une décision qui ne vous appartient pas... [b]Hubert :[/b] Il faut croire que vous ne serez jamais un « conseiller digne de ce nom ». [b]Ferdinand :[/b] Plaît-il ? [b]Hubert :[/b] Écoutez-vous. Si j'agis ainsi que dame Edelgard me le demande, vous me reprochez de ne pas penser par moi-même. Et si je suis ma propre voie, vous déclarez derechef que je me fourvoie ! Mais je ne puis m'en prendre qu'à moi-même... Quelle idée d'attendre qu'un conseil avisé sorte de votre bouche... [b]Ferdinand :[/b] Argh, j'en ai plus qu'assez de toutes vos jérémiades. Quand je pense que j'étais sur le point de considérer que vous étiez capable de prodiguer quelque aide ! [b][u]Rang A[/u] (Fleur Vermeille)[/b] [b]Hubert :[/b] Je m'étonne encore que nous puissions ainsi nous asseoir côte à côte et partager une tasse de thé. [b]Ferdinand :[/b] Vous parlez de thé, mais je n'en hume nullement. Ça sent le café, je crois ? Vous le faites venir de Dagda, j'imagine ? Pour ma part, je ne le goûte guère. [b]Hubert :[/b] Vous connaissez votre affaire. Mais je n'en attendais pas moins de la part d'un noble. Dame Edelgard vous dame le pion en tout point, et pourtant... Peut-être la surpassez-vous en termes d'optimisme. [b]Ferdinand :[/b] Qu'entendez-vous par là ? [b]Hubert :[/b] Eh bien, d'aucuns la qualifieraient d'indélicatesse, mais votre positivité à toute épreuve... Il faut convenir que c'est là votre plus grande qualité. [b]Ferdinand :[/b] Je vous demande pardon ? [b]Hubert :[/b] Vous cherchez perpétuellement à progresser, à enrichir votre connaissance, à atteindre de nouvelles limites. Tandis que d'autres se laissent distraire ou détourner de leur voie, vous n'abandonnez jamais. En la matière, du moins, je doute que vous ayez votre pareil. [b]Ferdinand :[/b] Hubert... Vous vous sentez bien ? Êtes-vous souffrant ? La lèpre, peut-être ? Est-ce que j'assiste à la confession d'un agonisant ? [b]Hubert :[/b] Diantre... Je n'essaie que de vous adresser un compliment. Pourquoi donc vous livrez-vous à des exagérations aussi théâtrales ? [b]Ferdinand :[/b] Théâtrales ? [b]Hubert :[/b] Je m'efforce de ne laisser aucune émotion interférer avec mes analyses. Le fait que je ne vois en vous qu'un répugnant dégénéré ne m'empêche pas de porter un jugement impartial sur vos aptitudes. [b]Ferdinand :[/b] Ainsi, le jugement parfaitement rationnel que vous portez sur autrui vous permet de nourrir une absolue confiance en vos appréciations ? Il semblerait que je me sois trompé à votre égard. [b]Hubert :[/b] Hé hé. Je vois que vous m'avez compris. [b]Ferdinand :[/b] Toutefois, je ne puis réprimer un sentiment de malaise lorsque vous m'adressez des compliments. Je crois entendre un serpent pousser la chansonnette. Prenez au moins la précaution de les consigner dans une lettre la prochaine fois. [b]Hubert :[/b] Dans l'éventualité improbable où une prochaine fois se présenterait, je vous promets d'avoir recours à une missive. [b][u]Rang A+[/u] (Fleur Vermeille)[/b] [b] Hubert :[/b] Bien le bonjour, Ferdinand. Un instant... Cet arôme... [b]Ferdinand :[/b] Je constate que votre nez est toujours aussi aiguisé, Hubert. Vous humez actuellement un sachet de grains de café frais. [b]Hubert :[/b] Pourquoi avez-vous acheté du café ? Ne disiez-vous pas tantôt que vous détestiez cela ? [b]Ferdinand :[/b] Je n'ai pas changé de position. Teinte sinistre, amertume marquée, texture visqueuse. De surcroît, il me fait trembler les mains. [b]Hubert :[/b] Bigre. Pourquoi, alors, en porter sur vous ? [b]Ferdinand :[/b] Eh bien... Un instant, qu'est-ce que cela ? Serait-ce du thé d'Orient ? [b]Hubert :[/b] En effet. Vous avez l’œil. [b]Ferdinand :[/b] Exhiber ainsi mon breuvage préféré sous mes yeux, alors même que vous-même n'en buvez jamais... C'est machiavélique. Vous le destinez à Edelgard, je présume ? [b]Hubert :[/b] Avant de répondre, je veux savoir ce que vous comptez faire de ce café. [b]Ferdinand :[/b] Eh bien... [b]Hubert :[/b] Serait-ce un cadeau pour l'élue de votre cœur ? [b]Ferdinand :[/b] Un cadeau, c'est cela. Pour vous. [b]Hubert :[/b] Hm. Et qui est la malheureu... Pour moi, avez-vous dit ? Vous m'offrez ces grains de café ? Mes oreilles me jouent-elles des tours ? [b]Ferdinand :[/b] C'est bien ce que j'ai dit. Un noble ne se dédit pas. Prenez-les. [b]Hubert :[/b] Je ne peux accepter. [b]Ferdinand :[/b] Pourquoi pas ? [b]Hubert :[/b] La seule idée de recevoir un cadeau inopiné de votre main sans vous en offrir un moi-même m'emplit de dégoût. Je vais donc... vous offrir ce thé. C'est un cadeau. De ma part. [b]Ferdinand :[/b] Pour moi ? Vraiment ? Un présent aussi délicat... Je m'en voudrais d'en priver la personne à laquelle vous le destiniez. [b]Hubert :[/b] Voilà qui serait difficile, attendu que c'est à vous que je destinais cet achat. [b]Ferdinand :[/b] Oh, dans ce cas, je vous remercie... Un instant, qu'avez-vous dit ? Vous aviez l'intention de m'offrir ceci depuis le début ? [b]Hubert :[/b] C'est bien ce que j'ai dit. [b]Ferdinand :[/b] Vraiment ? Ha ha ha ha ! [b]Hubert :[/b] Ha ha ha ha ! [b]Ferdinand :[/b] Là, ça s'impose. Nous devons prendre le thé ensemble. [b]Hubert :[/b] Fort bien. Mais pour moi, je ne m'en abreuverai pas. [b]Ferdinand :[/b] Naturellement, je vous préparerai du café. [b]Hubert :[/b] Je m'occuperai donc du thé. [/justify] [center][url=http://communaute-fireemblem.fr/fireemblem?version=16&sous_categorie=4052]Tous les soutiens de Hubert[/url] [url=http://communaute-fireemblem.fr/fireemblem?version=16&sous_categorie=4047]Tous les soutiens de Ferdinand[/url][/center]
Par
Raiden
Titre :
[center][size=18][b][img=100x100]https://communaute-fireemblem.fr/upload/images/5d3894528e54fb2967fe3f706ad13a9fed4ea162.png[/img] Hubert - Ferdinand [/b][/size][img=100x100]https://communaute-fireemblem.fr/upload/images/07fc6d830f8e249b595e0b811ee3cdd235f109dd.png[/img][/center] [justify] [b][u]Rang C[/u] (Nuées Blanches/Fleur Vermeille)[/b] [b]Ferdinand :[/b] Hmm... Cette idée me permettra de prendre le dessus sur Edelgard. [b]Hubert :[/b] Vous recommencez. [b]Ferdinand :[/b] Hubert ! Je vous saurais gré de vous annoncer à l'avenir. [b]Hubert :[/b] Ha ha. Ma présence ne vous aurait peut-être pas échappé si votre esprit n'était pas tout entier consacré à ourdir quelque sédition. [b]Ferdinand :[/b] Oh, je vous en prie. « Sédition » ? Il s'agit là d'un projet de première importance. [b]Hubert :[/b] Oui, j'ai entendu. Une nouvelle machination pour montrer à quel point vous surpassez dame Edelgard. Ce n'est pas votre rivale, Ferdinand, mais votre supérieure. Il convient pour un noble tel que vous de demeurer à sa place. [b]Ferdinand :[/b] Ha ha ! Je puis tout souffrir, plutôt qu'être un noble tel que vous. « Edelgard a effectué ceci », « Edelgard s'est rendue là »... Nul autre sujet ne sort de votre bouche. Ne pensez-vous donc jamais par vous-même ? Vous la suivez comme un petit chien. Vous vous inquiétez pour elle du matin au soir, et jamais vous n'exprimez la moindre opinion personnelle. [b]Hubert :[/b] Votre charabia est fatigant. J'espère donc vous le rappeler pour la dernière fois. Dame Edelgard est une princesse impériale. Vous n'êtes que le rejeton d'un chancelier/Dame Edelgard est votre impératrice. Vous n'êtes jamais que son larbin. [b]Ferdinand :[/b] Oui, j'entends bien. Cependant, il est du devoir d'un serviteur de prodiguer de francs conseils si elle vient à se fourvoyer. Voilà le dessein dans lequel j'investis toutes mes forces. Ainsi, je n'applique un tel zèle à surpasser Edelgard qu'afin d'être mieux préparé à l'éventualité qu'elle me demande conseil. S'il vous est trop « fatigant » de vous forger une opinion personnelle, vous ne serez jamais un conseiller digne de ce nom. [b]Hubert :[/b] Les torrents de détritus qui se déversent de votre bouche ne tarissent-ils donc jamais ? Votre façon de ne considérer que la surface des choses est répugnante. Il suffit. Votre cas est désespéré. Je m'en vais. [b]Ferdinand :[/b] Je n'ai rien à ajouter. Du balai. [b][u]Rang B[/u] (Fleur Vermeille)[/b] [b]Hubert :[/b] Portez-leur cette missive. Menacez-les. Faites ce que vous jugerez nécessaire. Allez ! Soldat impérial : À vos ordres ! [b]Ferdinand :[/b] Hubert... Cette missive est-elle celle à laquelle je pense ? [b]Hubert :[/b] Vous me prenez la main dans le sac. Soit. [b]Ferdinand :[/b] Mais Edelgard... [b]Hubert :[/b] M'a expressément défendu de l'envoyer. Je sais. [b]Ferdinand :[/b] Je ne puis le croire ! Vous avez contrevenu à un ordre direct ? Je vous croyais dévoué à elle. [b]Hubert :[/b] Mon dévouement est inflexible. Je n'entreprends rien qui ne favorise les intérêts de ma maîtresse. D'ailleurs, je crois me souvenir de raisonnements similaires de votre part. Le devoir d'un serviteur n'est-il pas de reconduire sur le bon chemin le maître qui s'est fourvoyé ? N'avez-vous pas dit cela tantôt ? [b]Ferdinand :[/b] Si fait, mais pas à son insu ! Lorsque l'on désapprouve son maître, il convient de le lui signifier de vive voix. Sinon, à quoi bon ? [b]Hubert :[/b] Le propos n'est pas là. Qu'elle en ait connaissance ou non, la volonté de dame Edelgard est honorée. Je n'ai nul besoin de l'importuner avec des broutilles. Seuls comptent les résultats. [b]Ferdinand :[/b] Vous vous fourvoyez tout à fait ! S'il me semble qu'Edelgard s'engage dans une voie peu sage, je l'en avise directement. Il arrive par ailleurs qu'au gré de notre conversation, je m'aperçoive que c'est moi qui étais dans l'erreur. Faire fi de ce protocole et prendre une décision qui ne vous appartient pas... [b]Hubert :[/b] Il faut croire que vous ne serez jamais un « conseiller digne de ce nom ». [b]Ferdinand :[/b] Plaît-il ? [b]Hubert :[/b] Écoutez-vous. Si j'agis ainsi que dame Edelgard me le demande, vous me reprochez de ne pas penser par moi-même. Et si je suis ma propre voie, vous déclarez derechef que je me fourvoie ! Mais je ne puis m'en prendre qu'à moi-même... Quelle idée d'attendre qu'un conseil avisé sorte de votre bouche... [b]Ferdinand :[/b] Argh, j'en ai plus qu'assez de toutes vos jérémiades. Quand je pense que j'étais sur le point de considérer que vous étiez capable de prodiguer quelque aide ! [b][u]Rang A[/u] (Fleur Vermeille)[/b] [b]Hubert :[/b] Je m'étonne encore que nous puissions ainsi nous asseoir côte à côte et partager une tasse de thé. [b]Ferdinand :[/b] Vous parlez de thé, mais je n'en hume nullement. Ça sent le café, je crois ? Vous le faites venir de Dagda, j'imagine ? Pour ma part, je ne le goûte guère. [b]Hubert :[/b] Vous connaissez votre affaire. Mais je n'en attendais pas moins de la part d'un noble. Dame Edelgard vous dame le pion en tout point, et pourtant... Peut-être la surpassez-vous en termes d'optimisme. [b]Ferdinand :[/b] Qu'entendez-vous par là ? [b]Hubert :[/b] Eh bien, d'aucuns la qualifieraient d'indélicatesse, mais votre positivité à toute épreuve... Il faut convenir que c'est là votre plus grande qualité. [b]Ferdinand :[/b] Je vous demande pardon ? [b]Hubert :[/b] Vous cherchez perpétuellement à progresser, à enrichir votre connaissance, à atteindre de nouvelles limites. Tandis que d'autres se laissent distraire ou détourner de leur voie, vous n'abandonnez jamais. En la matière, du moins, je doute que vous ayez votre pareil. [b]Ferdinand :[/b] Hubert... Vous vous sentez bien ? Êtes-vous souffrant ? La lèpre, peut-être ? Est-ce que j'assiste à la confession d'un agonisant ? [b]Hubert :[/b] Diantre... Je n'essaie que de vous adresser un compliment. Pourquoi donc vous livrez-vous à des exagérations aussi théâtrales ? [b]Ferdinand :[/b] Théâtrales ? [b]Hubert :[/b] Je m'efforce de ne laisser aucune émotion interférer avec mes analyses. Le fait que je ne vois en vous qu'un répugnant dégénéré ne m'empêche pas de porter un jugement impartial sur vos aptitudes. [b]Ferdinand :[/b] Ainsi, le jugement parfaitement rationnel que vous portez sur autrui vous permet de nourrir une absolue confiance en vos appréciations ? Il semblerait que je me sois trompé à votre égard. [b]Hubert :[/b] Hé hé. Je vois que vous m'avez compris. [b]Ferdinand :[/b] Toutefois, je ne puis réprimer un sentiment de malaise lorsque vous m'adressez des compliments. Je crois entendre un serpent pousser la chansonnette. Prenez au moins la précaution de les consigner dans une lettre la prochaine fois. [b]Hubert :[/b] Dans l'éventualité improbable où une prochaine fois se présenterait, je vous promets d'avoir recours à une missive. [b][u]Rang A+[/u] (Fleur Vermeille)[/b] [b] Hubert :[/b] Bien le bonjour, Ferdinand. Un instant... Cet arôme... [b]Ferdinand :[/b] Je constate que votre nez est toujours aussi aiguisé, Hubert. Vous humez actuellement un sachet de grains de café frais. [b]Hubert :[/b] Pourquoi avez-vous acheté du café ? Ne disiez-vous pas tantôt que vous détestiez cela ? [b]Ferdinand :[/b] Je n'ai pas changé de position. Teinte sinistre, amertume marquée, texture visqueuse. De surcroît, il me fait trembler les mains. [b]Hubert :[/b] Bigre. Pourquoi, alors, en porter sur vous ? [b]Ferdinand :[/b] Eh bien... Un instant, qu'est-ce que cela ? Serait-ce du thé d'Orient ? [b]Hubert :[/b] En effet. Vous avez l’œil. [b]Ferdinand :[/b] Exhiber ainsi mon breuvage préféré sous mes yeux, alors même que vous-même n'en buvez jamais... C'est machiavélique. Vous le destinez à Edelgard, je présume ? [b]Hubert :[/b] Avant de répondre, je veux savoir ce que vous comptez faire de ce café. [b]Ferdinand :[/b] Eh bien... [b]Hubert :[/b] Serait-ce un cadeau pour l'élue de votre cœur ? [b]Ferdinand :[/b] Un cadeau, c'est cela. Pour vous. [b]Hubert :[/b] Hm. Et qui est la malheureu... Pour moi, avez-vous dit ? Vous m'offrez ces grains de café ? Mes oreilles me jouent-elles des tours ? [b]Ferdinand :[/b] C'est bien ce que j'ai dit. Un noble ne se dédit pas. Prenez-les. [b]Hubert :[/b] Je ne peux accepter. [b]Ferdinand :[/b] Pourquoi pas ? [b]Hubert :[/b] La seule idée de recevoir un cadeau inopiné de votre main sans vous en offrir un moi-même m'emplit de dégoût. Je vais donc... vous offrir ce thé. C'est un cadeau. De ma part. [b]Ferdinand :[/b] Pour moi ? Vraiment ? Un présent aussi délicat... Je m'en voudrais d'en priver la personne à laquelle vous le destiniez. [b]Hubert :[/b] Voilà qui serait difficile, attendu que c'est à vous que je destinais cet achat. [b]Ferdinand :[/b] Oh, dans ce cas, je vous remercie... Un instant, qu'avez-vous dit ? Vous aviez l'intention de m'offrir ceci depuis le début ? [b]Hubert :[/b] C'est bien ce que j'ai dit. [b]Ferdinand :[/b] Vraiment ? Ha ha ha ha ! [b]Hubert :[/b] Ha ha ha ha ! [b]Ferdinand :[/b] Là, ça s'impose. Nous devons prendre le thé ensemble. [b]Hubert :[/b] Fort bien. Mais pour moi, je ne m'en abreuverai pas. [b]Ferdinand :[/b] Naturellement, je vous préparerai du café. [b]Hubert :[/b] Je m'occuperai donc du thé. [/justify] [center][url=http://communaute-fireemblem.fr/fireemblem?version=16&sous_categorie=4052]Tous les soutiens de Hubert[/url] [url=http://communaute-fireemblem.fr/fireemblem?version=16&sous_categorie=4047]Tous les soutiens de Ferdinand[/url][/center]
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