[center][img]https://communaute-fireemblem.fr/upload/images/76aba8bb1369de83c423d1194ace91aee5df723c.png[/img] [b][size=18]Beruka – Oboro[/size][/b] [img]https://communaute-fireemblem.fr/upload/images/27d6e37ca1f4c3e73e11c3b77dce23339df6708b.png[/img][/center] [b][u]Rang C[/u] [/b] [justify] Oboro : Grr... Beruka : Vous êtes… ? Oboro : Oboro. Je fais partie de l’armée hoshidienne. Beruka : Ah. Et moi, je suis... Oboro : Je sais. Vous êtes Beruka; combattante de l’armée nohrienne. Et ancien assassin. Beruka : Vous semblez bien hostile. Vous faites encore la distinction entre les forces hoshidiennes et nohriennes ? Sommes-nous donc toujours divisés malgré notre alliance ? Oboro : Vous compliquez les chose. Je garde une rancune contre les Nohriens, voilà tout. Beruka : Ah. Mais j’ai le sentiment que vous m’en voulez personnellement. Oboro : Seulement depuis que j’ai appris que vous étiez un assassin. Beruka : Et pourquoi donc ? Oboro : Mes parents possédaient un magasin de vêtements lorsque j’étais enfant. Ils effectuaient une livraison en Nohr lorsque des bandits les ont attaqués. Ils sont morts sous mes yeux. J’étais à l’arrière du chariot. Beruka : Attendez. Ils étaient tailleurs ? Et étaient en chemin vers Nohr ? Oboro : Oui, pourquoi ? Vous avez des informations ? Beruka : ... Oboro : Hé ! Quoi que vous sachiez vous feriez mieux de me le dire ! Que savez-vous à propos des hommes qui ont tué mes parents ?! Beruka : J’aurais dû me taire... Oboro : Hé ! Revenez ici, tout de suite ! [b][u]Rang B[/u][/b] Oboro : Enfin… vous voilà seule. Nous allons pouvoir discuter en privé. Beruka : Vous perdez votre temps. Je n’ai rien à vous dire. Rien du tout. Oboro : Vous mentez. Admettez-le. Pourquoi avez-vous réagi de cette façon la dernière fois ? Que cachez-vous ? Beruka : ... Oboro : Que savez-vous sur mes parents ?! Beruka : ... Oboro : Vous ne voulez toujours pas parler ? Ça ne m’étonne pas… Écoutez, je ne vous accuse pas de les avoir tués, je sais que vous n’étiez qu’une enfant. Je veux juste que vous me disiez ce que vous savez. Beruka : Si vous ne m’accusez de rien, alors, je n’ai rien à vous dire. Oboro : Attendez un peu ! Beruka : ... Oboro : Vous croyez que je vais vous laisser aussi facilement ? J’userai de la force, s’il le faut ! Alors, parlez ! Beruka : … Celui qui a tué vos parents… est l’homme qui m’a élevée comme sa propre fille. Oboro : Quoi… ? C’est une plaisanterie ?! Beruka : J’espère que vous êtes satisfaite… Car je m’en vais. Oboro : Attendez… Revenez ! J’ai besoin d’en savoir plus ! [b][u]Rang A[/u][/b] Beruka : Je voudrais vous parler. Oboro : Beruka ! Beruka : Calmez-vous. J’avais besoin de réfléchir. Mais maintenant, je suis prête. Oboro : Pardon… Je vous écoute. Beruka : Alors, je vais tout vous raconter. L’homme qui m’a adoptée était à la tête d’une guilde d’assassins secrète. Et, bien qu’il m’ait prise sous son aile, nous n’avions rien d’une vraie famille. Il ne m’a appris qu’une seule chose : tuer. Oboro : … Beruka : Un jour, au retour d’une mission, il m’a confié quelque chose d’étrange. Il m’a dit que sa tâche du jour avait été trop facile et que ça ne lui avait pas plu. Qu’il s’était plus senti comme un malandrin que comme un assassin. Il n’a montré des remords que deux fois dans sa vie. C’était la première. Oboro : Alors… c’est ce jour-là que votre père adoptif a tué mes parents ? Beruka : Oui. Il a dit qu’il avait reçu l’ordre de tuer des tailleurs en route pour Nohr. Oboro : Mais pourquoi ? Pourquoi les tuer ? Beruka : Les affaires de vos parents étaient en plein essor. Et ils étaient connus pour être proches de le noblesse hoshidienne. Il n’est donc pas étonnant que des figures nohriennes majeures aient voulu leur mort. Oboro : Grr… Mère ! Père ! Qui est-il ? L’homme qui vous a adoptée ?! Où se trouve-t-il actuellement ? Je le trouverai, et je vengerai mes parents ! Beruka : Non, vous ne pourrez pas vous venger. Oboro : Quoi ?! Si vous comptez le protéger vous ne valez pas mieux que lui ! Beruka : Vous ne comprenez pas. Il est mort. Oboro : Q-Quoi… ? Beruka : Je l’ai tué. Oboro : V-Vous dites ça sérieusement ? Beruka : En grandissant, je suis aussi devenue un assassin, et j’ai reçu des contrats… Un en particulier. La cible n’était autre que mon père adoptif. Oboro : C’est pour ça que vous l’avez tué ? Celui qui vous a élevée comme sa propre fille ?! Beruka : Oui. J’ai fait ce qu’il m’a toujours appris. Je n’ai pas hésité une seule seconde. Vous savez, ce n’est pas rare chez les assassins. Oboro : M-Mais pourquoi avez-vous dû le tuer ? Beruka : Comme tout assassin au long cours, il représentait une menace. En le tuant, ses clients s’assuraient qu’il emporte leurs secrets dans la tombe. Dans un dernier soupir, il a dit qu’il était temps pour lui de payer ses péchés. C’est la deuxième et dernière fois qu’il a exprimé de quelconques regrets. Oboro : Alors… je ne pourrai jamais prendre ma revanche ! Aaargh ! Beruka : Non. Il est mort. Oboro : ... Beruka : Mais vous pouvez me tuer, à la place. Oboro : Quoi ? Attendez une minute ! Pourquoi vous tuerais-je ? Ça n’a aucun sens. Beruka : J’ai tué l’objet de votre haine, donc vous devriez me haïr, moi. Vous devez venger vos parents. Quelqu’un doit payer pour votre souffrance. Il vous faut un exutoire. Oboro : ... Beruka : Et je me porte volontaire. Oboro : Merci, mais ça ne m’intéresse pas... Beruka : Mais pourquoi ? N’êtes-vous pas en colère ? Oboro : Vous n’imaginez pas à quel point je hais les Nohriens, votre père adoptif… et vous. Mais tout ça n’engendrera qu’encore plus de haine. Je ne le sais que trop. La chaîne de la haine ne peut qu’aboutir à une tragédie. Nous devons la briser. N’est-ce pas la raison pour laquelle nous combattons côte à côte ? Beruka : Oboro... [/justify] [center][url=http://communaute-fireemblem.fr/fireemblem.php?version=14&sous_categorie=2199]Tous les soutiens de Beruka[/url][/center] [center][url=http://communaute-fireemblem.fr/fireemblem.php?version=14&sous_categorie=2236]Tous les soutiens d'Oboro[/url][/center]