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/ Ferdinand - Bernadetta
[center][size=18][b][img=100x100]https://communaute-fireemblem.fr/upload/images/07fc6d830f8e249b595e0b811ee3cdd235f109dd.png[/img]Ferdinand - Bernadetta[/b][/size][img=100x100]https://communaute-fireemblem.fr/upload/images/af8cec899acd4f5a614f126800b4f8a14d60f788.png[/img][/center] [b][u]Rang C[/u][/b] [justify] [b]Bernadetta[/b] : La, la, laaa... Ah, voilà une belle journée qui commence, seule à lire dans ma chambre ! [b]Ferdinand[/b] : Bernadetta, il y a une chose dont j'aimerais m'entretenir avec vous. [b]Bernadetta[/b] : Oh... Vraiment ? De quoi, au juste ? Je n'ai rien fait de mal... [b]Ferdinand[/b] : Ah... Ne vous tourmentez pas. Je ne suis pas en colère. [b]Bernadetta[/b] : Oh, je ne vous crois pas ! Vous avez l'air hors de vous... ! Crachez le morceau ! Qu'ai-je donc fait ? [b]Ferdinand[/b] : Non, vous vous méprenez... Hé, m'écoutez-vous ? Respirez profondément, voulez-vous ? [b]Bernadetta[/b] : Je... ne peux... pas... respirer... quand... j'ai... peur ! [b]Ferdinand[/b] : Je vois à quel point cela vous est difficile. Je vous en prie, calmez-vous. [b]Bernadetta[/b] : Plus... facile... à dire... qu'à... faire ! [b]Ferdinand[/b] : Je voulais justement vous entretenir du fait que vous ne quittez jamais votre chambre. Comme si quelque chose vous faisait souffrir au point de vous conduire à vous cloîtrer de la sorte. Si vous avez des problèmes, je ne demande pas mieux qu'à les résoudre. Mais vous devez d'abord m'en parler. [b]Bernadetta[/b] : Non ! Euh, non, merci ! Je vais bien ! Vous voyez, je peux respirer à présent. Vous m'avez déjà aidée. Je peux y aller ?! [b]Ferdinand[/b] : Oh, mais vous rendez-vous compte de tout ce que vous manquez ? N'avez-vous pas le désir de dire adieu à votre vie de recluse ? Si vous m'écoutez, un monde insoupçonné vous ouvrira ses portes. Vous verrez, la vie sociale d'un noble est... [b]Bernadetta[/b] : Eh, arrêtez un peu vos histoires ! Ça ne m'intéresse pas. [b]Ferdinand[/b] : Bernadetta, ce comportement n'est pas raisonnable. Prenez la main que je vous tends. Sinon, je devrai vous porter et aucun d'entre nous... [b]Bernadetta[/b] : Et si j'aimais passer du temps toute seule ? Est-ce si difficile à envisager ? Mêlez-vous de vos affaires ! Du balai ! [b]Ferdinand[/b] : Argh ! [b]Bernadetta[/b] : Non. Oh non ! [b]Ferdinand[/b] : Aïe ! Je me suis tordu le poignet... [b]Bernadetta[/b] : Oh, non, non, non. C'est terminé, Nadette ! Maintenant, il me haïra pour toujours ! [b]Ferdinand[/b] : Je ne vous veux aucun mal. En fait, je... [b]Bernadetta[/b] : Non, je suis fichue ! Vous allez me tuer, c'est sûr ! [b]Ferdinand[/b] : Il serait plus avisé de revenir plus tard… [b][u]Rang B[/u][/b] [b]Ferdinand[/b] : Bernadetta... Avez-vous un instant ? J'aimerais vous parler de ce qui s'est passé... [b]Bernadetta[/b] : Ah ! Mon ennemi juré ! L'heure fatidique est arrivée... Au secouuuurs ! [b]Ferdinand[/b] : Je ne vous veux aucun mal. Si vous ne désirez pas ouvrir la porte, cela me convient. Mais je veux que vous m'écoutiez. [b]Bernadetta[/b] : Je ne suis pas obligée d'ouvrir la porte ? Vraiment ? J'aime les trêves. [b]Ferdinand[/b] : Merci. Je désirais m'excuser pour l'indiscrétion dont j'ai fait preuve. Je pensais que vous étiez malheureuse de vivre ainsi à l'écart, et que peut-être vous désiriez changer de vie. Mais en réfléchissant à ce que vous m'avez dit, j'ai compris que je me fourvoyais. [b]Bernadetta[/b] : Ferdinand, je vous jure que ça va. Cette vie me convient. [b]Ferdinand[/b] : Je le constate. Et c'est ce que j'essaie de vous dire. Je n'aurais pas dû vous contraindre à faire quoi que ce soit contre votre gué. Et puis, cet effroi que je vous ai inspiré... Cette conduite était indigne d'un noble. [b]Bernadetta[/b] : Oui, euh... peut-être. [b]Ferdinand[/b] : Ainsi, j'ai honte de mon comportement. Je n'ai pas été à la hauteur de mon rang et de ma naissance. Cette légère blessure que vous m'avez infligée était un juste châtiment pour moi. Vous n'avez aucun reproche à vous faire. J'ai toujours fait les plus grands efforts pour me comporter honorablement, mais je vois qu'ils furent vains. J'ai failli aux devoirs que m'impose la noblesse. [b]Bernadetta[/b] : Mais... Ferdinand ? [b]Ferdinand[/b] : Oui, Bernadetta ? [b]Bernadetta[/b] : J-Je n'y connais pas grand-chose... Mais je pense que vous ne devriez pas dire des choses pareilles ! Enfin... Ce n'était pas de votre faute, vous savez. J-Je n'ai moi-même pas été bien aimable. Je vous ai blessé. Je suis n-navrée. [b]Ferdinand[/b] : Ne nourrissez nulle crainte. Je serai guéri en un rien de temps. [b]Bernadetta[/b] : De plus, je ne pense pas que vos efforts aient été vains ! [b]Ferdinand[/b] : J'ai des doutes. [b]Bernadetta[/b] : J'aime mes moments de solitude. En fait, c'est comme un besoin. Mais vous avez raison. Je me rends également compte que je devrais sortir davantage. Les choses iront peut-être mieux si je m'efforce de sortir un peu plus... Si je fais des efforts, comme vous. [b]Ferdinand[/b] : Parfaitement. En tout cas, vous semblez bien plus enthousiaste que d'habitude. [b]Bernadetta[/b] : En cas de défaite ou de mauvais jour, je n'ai pas du tout le cœur à sortir. J'ai trop peur. Mais le jour suivant, je prends mon courage à deux mains. Car je sais que commettre une erreur, ce n'est pas la fin du monde. Alors vous... Enfin, juste parce que vous... Cela ne signifie pas que… Ah, je ne sais pas comment vous dire les choses. Bah, j'ai terminé, de toute façon. Je ne peux pas faire mieux. [b]Ferdinand[/b] : Ha ha ha ! Eh bien, voilà une conclusion tout à fait convenable. [b]Bernadetta[/b] : Hé, mais c'est sérieux ce que je vous dis ! Bon, au moins, je vous ai fait rire. [b][u]Rang A[/u] (Fleur Vermeille/Lune d’Azur/Vent Emeraude/Neiges Argentées)[/b] [b]Ferdinand[/b] : Ah, rien de tel qu'une tasse de thé alors que la guerre fait rage pour vous mettre du baume au cœur. Ne trouvez-vous pas, Bernadetta ? [b]Bernadetta[/b] : Euh, je n'y avais jamais réfléchi, mais... oui ! [b]Ferdinand[/b] : Excellent ! Oh, à ce propos... [b]Bernadetta[/b] : Hm ? Oui ? [b]Ferdinand[/b] : Eh bien, jadis, mes parents délibéraient pour arranger mon mariage avec une jeune dame. Cette jeune personne ne quittait jamais sa chambre, et passait son temps à confectionner des poupées destinées à maudire ses ennemis présumés. Ou du moins, c'est ce que prétendait la rumeur. Effrayé, j'ai signifié mon refus à mes parents. [b]Bernadetta[/b] : Ce genre d'occupation est effectivement terrifiant. Mais je peux comprendre cette façon de s'enfermer. [b]Ferdinand[/b] : Cette jeune dame, c'était vous, Bernadetta. Une fille de la maison Varley. [b]Bernadetta[/b] : Q-Quoi ? Mais je n'ai jamais fait de poupées pour lancer des malédictions ! [b]Ferdinand[/b] : Vous êtes une brodeuse confirmée, n'est-ce pas ? J'imagine que l'erreur vient de là. Vous ne fabriquiez pas de poupées. [b]Bernadetta[/b] : J'en ai fait, si, mais des jolies ! Vous savez, de mignonnes petites plantes carnivores, des choses de ce genre ! [b]Ferdinand[/b] : Ah... Peut-être n'aurais-je pas dû aborder ce sujet... [b]Bernadetta[/b] : Pourquoi dites-vous cela ? Les plantes carnivores sont adorables ! [b]Ferdinand[/b] : Ah, euh, oui. Adorables. Quoi qu'il en soit, si je vous avais connue à l'époque, j'aurais accepté avec ravissement. [b]Bernadetta[/b] : Hm. Dans quel but ? Vous aviez prévu quelque manigance, j'imagine ? [b]Ferdinand[/b] : Nulle manigance... Je veux seulement vous dire qu'à présent que je vous connais, ce projet m'aurait convenu. [b]Bernadetta[/b] : Vous voulez dire que vous... avec moi... ? Ha ha ha... J'ai chaud, tout d'un coup. Ça doit être à cause du thé... [b]Ferdinand[/b] : Allons, cessez de vous agiter ainsi. Tout cela s'est passé il y a si longtemps. [b]Bernadetta[/b] : Si longtemps... ? [b]Ferdinand[/b] : Oui, aujourd'hui, nous sommes des camarades de combat, luttant pour un objectif commun, n'est-ce pas ? Et mes parents ne sont plus de ce monde. Les arrangements qu'ils avaient élaborés n'ont plus de valeur. [b]Bernadetta[/b] : Vraiment ? [b]Ferdinand[/b] : Réfléchissez. Si nous avions été fiancés, comment aurait-on pu bâtir cette fraternité au combat ? [b]Bernadetta[/b] : C'est vrai. Nous n'aurions jamais pu devenir aussi bons amis ! Je suis certaine que si j'avais dû me résoudre à un choix de mes parents, je ne m'en serais enfermée que davantage. [b]Ferdinand[/b] : Voilà pourquoi, en fin de compte, je suis heureux d'avoir fui la princesse façonneuse de poupées maudites ! [b]Bernadetta[/b] : Hé ! Je vous ai dit que je n'en avait jamais fait ! [b]Ferdinand[/b] : Ha ! Pardonnez-moi. En tout cas, je suis fort aise que nous nous soyons rencontrés au monastère. Je dois maintenant prendre congé. J'espère avoir bientôt l'occasion de boire une autre tasse de thé en votre compagnie. [b]Bernadetta[/b] : Oui... À bientôt. Moi aussi, je suis heureuse que nous nous soyons rencontrés ici… ♪ Hm-hm-hmm... ♪[/justify] [center][url=https://communaute-fireemblem.fr/fireemblem?version=16&sous_categorie=4047]Tous les soutiens de Ferdinand[/url] [url=https://communaute-fireemblem.fr/fireemblem.php?version=16&sous_categorie=4037]Tous les soutiens de Bernadetta[/url][/center]
Par
Soren57
Titre :
[center][size=18][b][img=100x100]https://communaute-fireemblem.fr/upload/images/07fc6d830f8e249b595e0b811ee3cdd235f109dd.png[/img]Ferdinand - Bernadetta[/b][/size][img=100x100]https://communaute-fireemblem.fr/upload/images/af8cec899acd4f5a614f126800b4f8a14d60f788.png[/img][/center] [b][u]Rang C[/u][/b] [justify] [b]Bernadetta[/b] : La, la, laaa... Ah, voilà une belle journée qui commence, seule à lire dans ma chambre ! [b]Ferdinand[/b] : Bernadetta, il y a une chose dont j'aimerais m'entretenir avec vous. [b]Bernadetta[/b] : Oh... Vraiment ? De quoi, au juste ? Je n'ai rien fait de mal... [b]Ferdinand[/b] : Ah... Ne vous tourmentez pas. Je ne suis pas en colère. [b]Bernadetta[/b] : Oh, je ne vous crois pas ! Vous avez l'air hors de vous... ! Crachez le morceau ! Qu'ai-je donc fait ? [b]Ferdinand[/b] : Non, vous vous méprenez... Hé, m'écoutez-vous ? Respirez profondément, voulez-vous ? [b]Bernadetta[/b] : Je... ne peux... pas... respirer... quand... j'ai... peur ! [b]Ferdinand[/b] : Je vois à quel point cela vous est difficile. Je vous en prie, calmez-vous. [b]Bernadetta[/b] : Plus... facile... à dire... qu'à... faire ! [b]Ferdinand[/b] : Je voulais justement vous entretenir du fait que vous ne quittez jamais votre chambre. Comme si quelque chose vous faisait souffrir au point de vous conduire à vous cloîtrer de la sorte. Si vous avez des problèmes, je ne demande pas mieux qu'à les résoudre. Mais vous devez d'abord m'en parler. [b]Bernadetta[/b] : Non ! Euh, non, merci ! Je vais bien ! Vous voyez, je peux respirer à présent. Vous m'avez déjà aidée. Je peux y aller ?! [b]Ferdinand[/b] : Oh, mais vous rendez-vous compte de tout ce que vous manquez ? N'avez-vous pas le désir de dire adieu à votre vie de recluse ? Si vous m'écoutez, un monde insoupçonné vous ouvrira ses portes. Vous verrez, la vie sociale d'un noble est... [b]Bernadetta[/b] : Eh, arrêtez un peu vos histoires ! Ça ne m'intéresse pas. [b]Ferdinand[/b] : Bernadetta, ce comportement n'est pas raisonnable. Prenez la main que je vous tends. Sinon, je devrai vous porter et aucun d'entre nous... [b]Bernadetta[/b] : Et si j'aimais passer du temps toute seule ? Est-ce si difficile à envisager ? Mêlez-vous de vos affaires ! Du balai ! [b]Ferdinand[/b] : Argh ! [b]Bernadetta[/b] : Non. Oh non ! [b]Ferdinand[/b] : Aïe ! Je me suis tordu le poignet... [b]Bernadetta[/b] : Oh, non, non, non. C'est terminé, Nadette ! Maintenant, il me haïra pour toujours ! [b]Ferdinand[/b] : Je ne vous veux aucun mal. En fait, je... [b]Bernadetta[/b] : Non, je suis fichue ! Vous allez me tuer, c'est sûr ! [b]Ferdinand[/b] : Il serait plus avisé de revenir plus tard… [b][u]Rang B[/u][/b] [b]Ferdinand[/b] : Bernadetta... Avez-vous un instant ? J'aimerais vous parler de ce qui s'est passé... [b]Bernadetta[/b] : Ah ! Mon ennemi juré ! L'heure fatidique est arrivée... Au secouuuurs ! [b]Ferdinand[/b] : Je ne vous veux aucun mal. Si vous ne désirez pas ouvrir la porte, cela me convient. Mais je veux que vous m'écoutiez. [b]Bernadetta[/b] : Je ne suis pas obligée d'ouvrir la porte ? Vraiment ? J'aime les trêves. [b]Ferdinand[/b] : Merci. Je désirais m'excuser pour l'indiscrétion dont j'ai fait preuve. Je pensais que vous étiez malheureuse de vivre ainsi à l'écart, et que peut-être vous désiriez changer de vie. Mais en réfléchissant à ce que vous m'avez dit, j'ai compris que je me fourvoyais. [b]Bernadetta[/b] : Ferdinand, je vous jure que ça va. Cette vie me convient. [b]Ferdinand[/b] : Je le constate. Et c'est ce que j'essaie de vous dire. Je n'aurais pas dû vous contraindre à faire quoi que ce soit contre votre gué. Et puis, cet effroi que je vous ai inspiré... Cette conduite était indigne d'un noble. [b]Bernadetta[/b] : Oui, euh... peut-être. [b]Ferdinand[/b] : Ainsi, j'ai honte de mon comportement. Je n'ai pas été à la hauteur de mon rang et de ma naissance. Cette légère blessure que vous m'avez infligée était un juste châtiment pour moi. Vous n'avez aucun reproche à vous faire. J'ai toujours fait les plus grands efforts pour me comporter honorablement, mais je vois qu'ils furent vains. J'ai failli aux devoirs que m'impose la noblesse. [b]Bernadetta[/b] : Mais... Ferdinand ? [b]Ferdinand[/b] : Oui, Bernadetta ? [b]Bernadetta[/b] : J-Je n'y connais pas grand-chose... Mais je pense que vous ne devriez pas dire des choses pareilles ! Enfin... Ce n'était pas de votre faute, vous savez. J-Je n'ai moi-même pas été bien aimable. Je vous ai blessé. Je suis n-navrée. [b]Ferdinand[/b] : Ne nourrissez nulle crainte. Je serai guéri en un rien de temps. [b]Bernadetta[/b] : De plus, je ne pense pas que vos efforts aient été vains ! [b]Ferdinand[/b] : J'ai des doutes. [b]Bernadetta[/b] : J'aime mes moments de solitude. En fait, c'est comme un besoin. Mais vous avez raison. Je me rends également compte que je devrais sortir davantage. Les choses iront peut-être mieux si je m'efforce de sortir un peu plus... Si je fais des efforts, comme vous. [b]Ferdinand[/b] : Parfaitement. En tout cas, vous semblez bien plus enthousiaste que d'habitude. [b]Bernadetta[/b] : En cas de défaite ou de mauvais jour, je n'ai pas du tout le cœur à sortir. J'ai trop peur. Mais le jour suivant, je prends mon courage à deux mains. Car je sais que commettre une erreur, ce n'est pas la fin du monde. Alors vous... Enfin, juste parce que vous... Cela ne signifie pas que… Ah, je ne sais pas comment vous dire les choses. Bah, j'ai terminé, de toute façon. Je ne peux pas faire mieux. [b]Ferdinand[/b] : Ha ha ha ! Eh bien, voilà une conclusion tout à fait convenable. [b]Bernadetta[/b] : Hé, mais c'est sérieux ce que je vous dis ! Bon, au moins, je vous ai fait rire. [b][u]Rang A[/u] (Fleur Vermeille/Lune d’Azur/Vent Emeraude/Neiges Argentées)[/b] [b]Ferdinand[/b] : Ah, rien de tel qu'une tasse de thé alors que la guerre fait rage pour vous mettre du baume au cœur. Ne trouvez-vous pas, Bernadetta ? [b]Bernadetta[/b] : Euh, je n'y avais jamais réfléchi, mais... oui ! [b]Ferdinand[/b] : Excellent ! Oh, à ce propos... [b]Bernadetta[/b] : Hm ? Oui ? [b]Ferdinand[/b] : Eh bien, jadis, mes parents délibéraient pour arranger mon mariage avec une jeune dame. Cette jeune personne ne quittait jamais sa chambre, et passait son temps à confectionner des poupées destinées à maudire ses ennemis présumés. Ou du moins, c'est ce que prétendait la rumeur. Effrayé, j'ai signifié mon refus à mes parents. [b]Bernadetta[/b] : Ce genre d'occupation est effectivement terrifiant. Mais je peux comprendre cette façon de s'enfermer. [b]Ferdinand[/b] : Cette jeune dame, c'était vous, Bernadetta. Une fille de la maison Varley. [b]Bernadetta[/b] : Q-Quoi ? Mais je n'ai jamais fait de poupées pour lancer des malédictions ! [b]Ferdinand[/b] : Vous êtes une brodeuse confirmée, n'est-ce pas ? J'imagine que l'erreur vient de là. Vous ne fabriquiez pas de poupées. [b]Bernadetta[/b] : J'en ai fait, si, mais des jolies ! Vous savez, de mignonnes petites plantes carnivores, des choses de ce genre ! [b]Ferdinand[/b] : Ah... Peut-être n'aurais-je pas dû aborder ce sujet... [b]Bernadetta[/b] : Pourquoi dites-vous cela ? Les plantes carnivores sont adorables ! [b]Ferdinand[/b] : Ah, euh, oui. Adorables. Quoi qu'il en soit, si je vous avais connue à l'époque, j'aurais accepté avec ravissement. [b]Bernadetta[/b] : Hm. Dans quel but ? Vous aviez prévu quelque manigance, j'imagine ? [b]Ferdinand[/b] : Nulle manigance... Je veux seulement vous dire qu'à présent que je vous connais, ce projet m'aurait convenu. [b]Bernadetta[/b] : Vous voulez dire que vous... avec moi... ? Ha ha ha... J'ai chaud, tout d'un coup. Ça doit être à cause du thé... [b]Ferdinand[/b] : Allons, cessez de vous agiter ainsi. Tout cela s'est passé il y a si longtemps. [b]Bernadetta[/b] : Si longtemps... ? [b]Ferdinand[/b] : Oui, aujourd'hui, nous sommes des camarades de combat, luttant pour un objectif commun, n'est-ce pas ? Et mes parents ne sont plus de ce monde. Les arrangements qu'ils avaient élaborés n'ont plus de valeur. [b]Bernadetta[/b] : Vraiment ? [b]Ferdinand[/b] : Réfléchissez. Si nous avions été fiancés, comment aurait-on pu bâtir cette fraternité au combat ? [b]Bernadetta[/b] : C'est vrai. Nous n'aurions jamais pu devenir aussi bons amis ! Je suis certaine que si j'avais dû me résoudre à un choix de mes parents, je ne m'en serais enfermée que davantage. [b]Ferdinand[/b] : Voilà pourquoi, en fin de compte, je suis heureux d'avoir fui la princesse façonneuse de poupées maudites ! [b]Bernadetta[/b] : Hé ! Je vous ai dit que je n'en avait jamais fait ! [b]Ferdinand[/b] : Ha ! Pardonnez-moi. En tout cas, je suis fort aise que nous nous soyons rencontrés au monastère. Je dois maintenant prendre congé. J'espère avoir bientôt l'occasion de boire une autre tasse de thé en votre compagnie. [b]Bernadetta[/b] : Oui... À bientôt. Moi aussi, je suis heureuse que nous nous soyons rencontrés ici… ♪ Hm-hm-hmm... ♪[/justify] [center][url=https://communaute-fireemblem.fr/fireemblem?version=16&sous_categorie=4047]Tous les soutiens de Ferdinand[/url] [url=https://communaute-fireemblem.fr/fireemblem.php?version=16&sous_categorie=4037]Tous les soutiens de Bernadetta[/url][/center]
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