[center][size=18][b][img=100x100]https://communaute-fireemblem.fr/upload/images/ea1c582d53e11b23fcfa3a811be62ea657430bb4.png[/img]Caspar - Bernadetta[/b][/size][img=100x100]https://communaute-fireemblem.fr/upload/images/af8cec899acd4f5a614f126800b4f8a14d60f788.png[/img][/center] [b][u]Rang C[/u][/b] [justify] [b]Bernadetta[/b] : Et celui-là va ici. Parfait ! [b]Caspar[/b] : Tiens, Bernadetta. Qu'est-ce que tu fais ? [b]Bernadetta[/b] : Aaahh ! L-L'ennemi attaque ! À moi ! Au secours ! À l'aiiiide ! [b]Caspar[/b] : Quoi ? S'il y a quelqu'un qui a besoin d'aide ici, c'est plutôt moi. Enfin bref, je vais me débrouiller tout seul. Quand je pense que j'ai réussi à me blesser en essayant d'interrompre le combat d'un autre. C'est ridicule ! Quand je suis tombé sur ces abrutis, ils étaient prêts à s'entrégorger, et la minute d'après, c'est sur ma carotide qu'ils lorgnaient ! Hé, tu t'es déjà battue contre quelqu'un ? [b]Bernadetta[/b] : Aaaahh ! Se battre ? Vous voulez vous battre contre moi ? Nooon ! Vous avez gagné, je m'incline ! Je ne me suis jamais querellée avec qui que ce soit ! [b]Caspar[/b] : C'est bon. Sans vouloir être insolent, tu crois pas que ton comportement te rend un peu difficile à aborder ? Si tu sortais un peu au lieu de ruminer entre quatre murs, tu te ferais des amis en un rien de temps ! [b]Bernadetta[/b] : Sortir... ? En un rien de temps ? Mais bien sûr ! Pourquoi n'y ai-je pas pensé plus tôt ? Ou peut-être que vous ne devriez pas prendre votre cas pour une généralité ! Vous y avez déjà réfléchi ? [b]Caspar[/b] : Et pourquoi ça ? C'est facile de se faire des amis ! Je me suis même retrouvé à devenir ami avec un type juste après un combat acharné. En y repensant, le splendide panorama qui s'étalait devant nous a sans doute beaucoup joué… D'ailleurs, suis-moi, il faut que tu voies ça ! [b]Bernadetta[/b] : Hein ? B-Bas-les-pattes... ! Vous allez me lâcher, oui ? Mais vous faites quoiiii ? Remettez-moi par terre ! [b]Caspar[/b] : Calme-toi et laisse-moi faire ! Je t'emmène ! Et voilà ! On y est ! Tu vois ? Qu'est-ce que tu dis de cette vue ? C'est magnifique, n'est-ce pas ? [b]Bernadetta[/b] : C'est donc à cela que la mort ressemble. Je ne m'attendais pas à ce qu'elle arrive si soudainement. Ahh, la mort s'approche, prête à m'étreindre dans ses bras décharnés... Je vois s'échapper l'aura mordorée de mon âme... [b]Caspar[/b] : Mais non, tu vas pas me claquer dans les bras, Bernadetta ! Et y a pas d'aura de ton âme mordorée, c'est juste le soleil qui se couche ! [b]Bernadetta[/b] : Mais... ? Q-Que... ? Où je suis... ? Oh, mais... C'est magnifique ! Quel endroit merveilleux… [b][u]Rang B[/u][/b] [b]Bernadetta[/b] : Hum. Bonjour. [b]Caspar[/b] : Tiens, Bernadetta ! Que puis-je faire pour toi ? [b]Bernadetta[/b] : O-Oh, je vous dérange, c'est ça ? Désolée ! Désolée ! Je reviendrai plus tard ! [b]Caspar[/b] : Eh, tu vas pas mettre les bouts alors que tu viens juste de débarquer. J'imagine que tu voulais me dire quelque chose ? [b]Bernadetta[/b] : Euh. Oui. Vous vous rappelez l'autre fois, en ville... ? [b]Caspar[/b] : En ville ? Oh, tu parles de ces brigands ? Il paraît qu'ils ont dépouillé des tas de malheureux... [b]Bernadetta[/b] : N-Non, pas ça ! Je veux parler de la fois où je me suis retrouvée... t-trimballée... [b]Caspar[/b] : Trimballée ? Me dis pas que ces crapules t'ont mis la main dessus ? C'est ignoble ! Absolument ignoble ! Sois tranquille, ils ne l'emporteront pas au para... [b]Bernadetta[/b] : Mais non, je ne parlais pas de çaaaa ! Oh, laissez tomber ! [b]Caspar[/b] : Attends ! Reste ! Qu'est-ce que t'essaies de me dire ? [b]Bernadetta[/b] : Vous promettez de m'écouter, cette fois-ci ? [b]Caspar[/b] : Promis, juré ! Tu as toute mon attention. [b]Bernadetta[/b] : Vous vous souvenez de la fois où vous m'avez trimballée pour admirer ce magnifique panorama ? Je me demandais... c'était où exactement ? Impossible de retrouver l'endroit... [b]Caspar[/b] : Hein ? Là où je t'ai embarquée ? Oh, tu sors du monastère et c'est la première à… Argh, c'est pas simple à expliquer. Allez, on va y retourner ensemble, mais essaie de retenir le chemin, d'accord ? [b]Bernadetta[/b] : Hein ? Non, vous n'allez pas recommen... ! Arrêtez ! Aaaahh ! Stooooop ! Reposez-moi par teeeerre ! [b][u]Rang A[/u] (Fleur Vermeille/Lune d’Azur/Vent Emeraude/Neiges Argentées)[/b] [b]Caspar[/b] : Je t'en prie, Bernadetta ! Dis-moi, pourquoi tu es aussi remontée contre moi ? [b]Caspar[/b] : J'y comprends rien, mais je t'en supplie ! Pardonne-moi ! [b]Bernadetta[/b] : Ah, vous n'y comprenez rien ? Je suppose que vous avez aussi oublié votre horrible brutalité ? [b]Caspar[/b] : B-Brutalité ? Qu'est-ce que tu veux dire ? J'ai rien fait, moi ! [b]Bernadetta[/b] : Bien sûr que si ! Vous avez commis toutes sortes de méchancetés ! Mais le pire, c'est que vous m'avez trimballée non pas une, mais deux fois ! J'ai cru que ma dernière heure avait sonné ! [b]Caspar[/b] : Mais de quoi parles-tu ? [b]Bernadetta[/b] : Ne faites pas semblant d'avoir oublié ! Vous m'avez trimballée jusqu'à ce magnifique endroit ! [b]Caspar[/b] : Quel endroit ?! Ah oui ! C'était splendide, non ? Alors pourquoi t'es dans tous tes états ? [b]Bernadetta[/b] : Parce que vous m'avez trimballée comme si je n'étais qu'un vulgaire baluchon ! [b]Caspar[/b] : Je ne comprends toujours pas pourquoi tu es remontée comme ça... [b]Bernadetta[/b] : Ne faites pas l'étonné ! Vous savez ce qu'on ressent, quand on se fait transbahuter de la sorte ? [b]Caspar[/b] : Honnêtement, je m'en suis pas rendu compte… J'étais tellement enthousiaste à l'idée de t'emmener là-bas, j'ai pas réfléchi. Je suis vraiment désolé... [b]Bernadetta[/b] : Hein ? Hum... bon... J-J'espère que vous avez compris, maintenant ! [b]Caspar[/b] : Ouais, maintenant, c'est clair ! Qu'est-ce que je peux faire pour me faire pardonner ! Vas-y, t'as qu'à demander ! Je veux te montrer que je te prends au sérieux ! [b]Bernadetta[/b] : B-Bien, très bien... Je veux que vous m'emmeniez à nouveau là-bas. Mais d'abord, promettez-moi deux choses ! [b]Caspar[/b] : Tout ce que tu veux ! [b]Bernadetta[/b] : Vous ne me trimballez pas ! Vous ne tirez pas, vous ne poussez pas ! Vous me traitez avec délicatesse ! [b]Caspar[/b] : Bien sûr, tu peux compter sur moi. Mais... ça fait trois promesses, non ? [b]Bernadetta[/b] : C'était seulement UNE promesse ! De la délicatesse, compris ? [b]Caspar[/b] : D-D'accord, pas de problème. Et l'autre promesse, alors ? [b]Bernadetta[/b] : Hum... Je veux que vous me juriez de n'emmener personne d'autre là-bas. Uniquement moi. [b]Caspar[/b] : Très bien. Je te le jure. Mais c'est étrange. Pourquoi est-ce que tu... [b]Bernadetta[/b] : Allez ! Si vous voulez vraiment vous faire pardonner, dépêchez-vous de m'emmener là-bas ! [b]Caspar[/b] : Bien sûr. On est partis ! Bien, nous y voilà. Regarde-moi ce coucher de soleil ! [b]Bernadetta[/b] : Le même spectacle que ce jour-là... Oh, ma peau est tellement habituée à l'obscurité, la lumière du soleil la brûlerait presque. [b]Caspar[/b] : Ha ha ha ! Ces trois pauvres rayons te brûlent ? Décidément, il faut que tu t'aères un peu plus. Soit, c'est décidé ! À partir de maintenant, je vais t'emmener dans plein d'endroits différents ! Sois tranquille, je ferai preuve de délicatesse. Et je n'emmènerai personne d'autre. Juste toi et moi, d'accord ? [b]Bernadetta[/b] : Aaaahh... ! Mais... mais... hum, d'accord. Si un jour, vous en avez assez de ma compagnie, je vous présente d'avance toutes mes excuses. [b]Caspar[/b] : Ha ha ha ! Qu'est-ce que tu racontes ? Elle est bien bonne, celle-là ![/justify] [center][url=https://communaute-fireemblem.fr/fireemblem.php?version=16&sous_categorie=4038]Tous les soutiens de Caspar[/url] [url=https://communaute-fireemblem.fr/fireemblem?version=16&sous_categorie=4037]Tous les soutiens de Bernadetta[/url][/center]