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/ Bernadetta - Felix
[center][size=18][b][img=100x100]https://communaute-fireemblem.fr/upload/images/af8cec899acd4f5a614f126800b4f8a14d60f788.png[/img]Bernadetta - Felix[/b][/size][img=100x100]https://communaute-fireemblem.fr/upload/images/2f5676481f882ed597a3dc76b77e52350b16602d.png[/img][/center] [b][u]Rang C[/u][/b] [justify] [b]Bernadetta[/b] : Hiiiiiiii ! Felix en approche, droit devant ! Si je tourne les talons, il ne manquera pas de me poursuivre. Je vais rester parfaitement immobile... [b]Felix[/b] : ... [b]Bernadetta[/b] : ... [b]Felix[/b] : Hem. [b]Bernadetta[/b] : Ce n'est pas moi ! Je n'ai rien fait du tout, je vous le jure ! À moins que mon immobilisme vous contrarie ?! [b]Felix[/b] : Non. Tenez, je pense que c'est à vous. [b]Bernadetta[/b] : Oh ? Ma bourse... Mais qu-quand ai-je bien pu la... Un instant... Où l'avez-vous trouvée ?! [b]Felix[/b] : Arrêtez de poser des questions et contentez-vous de la prendre. [b]Bernadetta[/b] : Non ! C'est un piège ! Un pièèège ! [b]Felix[/b] : Pourquoi vous comportez-vous ainsi ? [b]Bernadetta[/b] : Vous ne voyez donc pas que vous me terrifiez ?! Croyez-moi, ma panique n'a rien de feinte ! [b]Felix[/b] : Quelle femme compliquée vous faites. Allons, prenez votre bourse. [b]Bernadetta[/b] : Je ne peux pas ! Vos yeux sont si froids, j'en suis pétrifiée ! [b]Felix[/b] : Taisez-vous et prenez votre bourse ! [b]Bernadetta[/b] : Non ! J-Je vous en prie, ne me tuez paaaaas ! [b]Felix[/b] : Comment ? Mais qui donc ? [b]Bernadetta[/b] : Une épée ?! Il a une épée ! Aaaaaaaahhh !!! [b]Felix[/b] : Mon épée ! Comment avez-vous... [b]Bernadetta[/b] : Laissez-moi tranquiiiiiille !!! [b]Felix[/b] : Quelle étrange personne… Mais elle a piqué mon intérêt. Je n'avais encore jamais vu une technique pareille… Et je ne lui ai toujours pas rendu sa bourse. [b][u]Rang B[/u][/b] [b]Felix[/b] : Vous, là. [b]Bernadetta[/b] : Aaah ! Qu'est-ce que j'ai fait ?! [b]Bernadetta[/b] : Je vous dérange, c'est ça ? Bien sûr que oui, je le sais bien ! Pardon, ma présence est un fardeau pour moi aussi... [b]Felix[/b] : Je n'ai rien dit de tel. Restez donc ici. Vous passez votre temps à vous enfuir. Ma présence vous est donc tellement insupportable ? [b]Bernadetta[/b] : Insupportable ! Parfaitement ! Un instant... Que... Non, je voulais dire... C'est ma présence à moi qui... [b]Felix[/b] : Peu importe. Vous souvenez-vous du moment où vous vous êtes glissée derrière moi, jetant mon épée à terre ? J'aimerais que vous me montriez comment vous avez fait. [b]Bernadetta[/b] : Votre épée ? Vous montrer ? Comment j'ai fait ?! V-Vous plaisantez, n'est-ce pas ? Parce que je n'ai jamais rien entendu d'aussi ridicule ! [b]Felix[/b] : Si c'est ce que vous pensez... Je vous ai pourtant vue de mes yeux. Se pourrait-il que vous n'en ayez pas souvenir ? Vous vous êtes déplacée plus vite que l'éclair, et avant même que j'aie pu réagir... [b]Bernadetta[/b] : Non, ce n'était pas Nadette ! Vous avez dû tout imaginer. À moins que vous ayez une preuve qu'il s'agissait bien de moi ? [b]Felix[/b] : J'ai bien une preuve. La bourse que vous avez laissé tomber. [b]Bernadetta[/b] : Ma bourse... Hiiiii ! Non, un instant... Ce... Ce n'est pas la mienne. Vous ne pouvez pas le prouver. [b]Felix[/b] : Cessez de jouer l'innocente. [b]Bernadetta[/b] : Mais je suis innocente ! Vous vous trompez ! Sainte Seiros, très miséricordieuse, j'implore votre secours ! [b]Felix[/b] : Tout cela n'a aucun sens. Ah... Ceci dit… Si j'essayais de lui faire peur à nouveau, elle aurait peut-être à nouveau recours à sa technique... [b]Bernadetta[/b] : À l'aiiiiiiiide !!! [b]Felix[/b] : ... [b]Felix[/b] : J'abandonne. Nous n'avons plus rien à nous dire. [b]Bernadetta[/b] : Mensonges ! Ce ne sont que des mensonges ! Je n'ai rien fait de mal, rien... du... tout ? Où... Où est-il donc passé ? [b][u]Rang A[/u] (Fleur Vermeille/Lune d’Azur/Vent Emeraude/Neiges Argentées)[/b] [b]Felix[/b] : Mais c'est Bernadetta ! Elle est poursuivie par des ennemis. Qu'est-ce qui lui a pris de s'aventurer seule dehors, faible comme elle est ? On ne peut pas lui tourner le dos une seconde... [b]Escroc[/b] : Hé hé hé... Vous nous avez bien fait courir, ma petite dame ! Mais vous pouvez plus vous enfuir. [b]Bernadetta[/b] : À l'aiiiiiiide, je suis perduuuue ! [b]Escroc[/b] : Qu'est-ce que... ? Mon épée ! [b]Felix[/b] : Ah ! Revoilà sa technique ! Mais ce n'est pas le moment de rester les bras croisés. Vous êtes saine et sauve, n'est-ce pas ? [b]Bernadetta[/b] : Felix ?! C'est bien vous ! M-Merci, merci de tout cœur ! Je croyais ma dernière heure venue ! Vous m'avez sauvé la vie ! Comment pourrai-je jamais vous remercier ! Oh ? [b]Felix[/b] : Cessez de jacasser et calmez-vous un peu. C'est à moi de vous remercier. [b]Bernadetta[/b] : Que dites-vous ? [b]Felix[/b] : Si vous ne vous étiez pas mise dans cette situation critique, je n'aurais pas pu vous voir répéter votre technique. Mais je comprends désormais. Pendant un bref instant, vous agitez vos bras comme une créature qui n'aurait rien d'humain. [b]Felix[/b] : Si je parvenais à maîtriser cette technique, je n'en serais que plus fort... [b]Bernadetta[/b] : Ma foi, si vous estimez que je vous ai été de quelque secours, j'en suis heureuse. [b]Felix[/b] : En revanche, votre cri de guerre est du dernier pathétique, vous devriez peut-être le travailler. [b]Bernadetta[/b] : Oh, je vous en prie, ne vous moquez pas... J'avais atteint le tréfonds du désespoir et... Mais ? Non, impossible… ... [b]Felix[/b] : Qu'y a-t-il ? Qu'avez-vous à me fixer ainsi ? [b]Bernadetta[/b] : Mais vous souriez ! Et je ne parle pas d'un rictus, mais d'un bon et franc sourire ! Vous êtes une vraie petite noisette, Felix ! Aussi dur à l'extérieur que tendre à l'intérieur ! [b]Felix[/b] : Hm. Vous pouvez garder vos comparaisons stupides. [b]Bernadetta[/b] : Ooh, voilà que vous rentrez dans votre coque ! [b]Felix[/b] : Ça suffit ! Cessez de rire de moi ou vous allez le regretter amèrement ! [b]Bernadetta[/b] : Hiiii ! Ne vous fâchez pas, par pitiééééé ! [b][u]Rang A+[/u] (Fleur Vermeille/Lune d’Azur/Vent Emeraude/Neiges Argentées)[/b] [b]Bernadetta[/b] : Oh ! Bonjour, Felix ! Pourrais-je vous parler un instant ? [b]Felix[/b] : Que se passe-t-il ? Je vous écoute. [b]Bernadetta[/b] : Regardez, là-bas ! Un chaton ! N'est-il pas adorable ? [b]Felix[/b] : Hm, je ne peux pas dire le contraire, en effet. Je n'ai pas d'aversion pour les [b]Bernadetta[/b] : Tenez, Felix, goûtez donc ceci. C'est une sucrerie, mais on sent très peu le sucre. [b]Felix[/b] : [i]Non, je vous remercie. Je ne mange jamais de sucreries. (Si Felix et Lysithea ont atteint un soutien de rang B)[/i] [i][b]Si elles ne sont pas trop sucrées, je veux bien en goûter une. (Si Felix et Lysithea n’ont pas atteint un soutien de rang B)[/b][/i] [b]Bernadetta[/b] : Avez-vous un moment ? J'ai un livre passionnant et... [b]Felix[/b] : Je peux savoir à quoi vous jouez ? [b]Bernadetta[/b] : Pardon ? [b]Felix[/b] : Qu'est-ce qui vous prend de venir me voir sans cesse ? Et plus étonnant encore, où est passée votre timidité maladive ? [b]Bernadetta[/b] : Oh, je suis toujours aussi timide qu'auparavant. [b]Felix[/b] : Alors comment se fait-il que vous soyez toujours accrochée à mes basques ? [b]Bernadetta[/b] : C'est que... Eh bien, vous savez, si les fantômes font peur, c'est uniquement parce qu'on ne peut ni les voir ni leur parler... [b]Felix[/b] : C'est moi que vous traitez de fantôme ? [b]Bernadetta[/b] : Quoiii ? Bien sûr que non, c-ce n'était qu'une métaphoooore ! [b]Felix[/b] : Hm. Voilà que vous recommencez avec vos comparaisons idiotes. [b]Bernadetta[/b] : Ohhh ! Le voilà ! Ce sourire, à l'instant ! [b]Felix[/b] : Qu'est-ce que... ? [b]Bernadetta[/b] : Voilà pourquoi je passe tout ce temps auprès de vous ! Pour vous voir sourire à nouveau ! [b]Felix[/b] : Hm. Tu parles d'une déception. Vous poursuiviez un but bien trivial. C'était donc pour cela que vous me harceliez sans la moindre trace de crainte ? Vous avez bien grandi. [b]Bernadetta[/b] : I-Il faut croire, oui... Mais vous... vous m'avez fait un compliment ?! S'est-il produit quelque chose d'horrible ? [i][b]Une dispute avec un ami de longue date ? (Nuées Blanches - si Sylvain, Dimitri et Ingrid sont vivants/Autres Routes - si la bataille “Retrouvailles à Gronder” n’a pas été complétée et que Sylvain, Ingrid et Dimitri sont vivants)[/b][/i] [b]Felix[/b] : ... [b]Bernadetta[/b] : Oh, je connais la chanson. À présent, vous allez vous fâcher contre moi, c'est bien ça ? [b]Felix[/b] : Peu importe. Alors, quel était ce livre que vous vouliez que nous lisions ? [b]Bernadetta[/b] : Oh ? Euh, eh bien, oui, hem… C'est... C'est celui-ci. Si cela vous convient ![/justify] [center][url=https://communaute-fireemblem.fr/fireemblem.php?version=16&sous_categorie=4037]Tous les soutiens de Bernadetta[/url] [url=https://communaute-fireemblem.fr/fireemblem?version=16&sous_categorie=4046]Tous les soutiens de Felix[/url][/center]
Par
Soren57
Titre :
[center][size=18][b][img=100x100]https://communaute-fireemblem.fr/upload/images/af8cec899acd4f5a614f126800b4f8a14d60f788.png[/img]Bernadetta - Felix[/b][/size][img=100x100]https://communaute-fireemblem.fr/upload/images/2f5676481f882ed597a3dc76b77e52350b16602d.png[/img][/center] [b][u]Rang C[/u][/b] [justify] [b]Bernadetta[/b] : Hiiiiiiii ! Felix en approche, droit devant ! Si je tourne les talons, il ne manquera pas de me poursuivre. Je vais rester parfaitement immobile... [b]Felix[/b] : ... [b]Bernadetta[/b] : ... [b]Felix[/b] : Hem. [b]Bernadetta[/b] : Ce n'est pas moi ! Je n'ai rien fait du tout, je vous le jure ! À moins que mon immobilisme vous contrarie ?! [b]Felix[/b] : Non. Tenez, je pense que c'est à vous. [b]Bernadetta[/b] : Oh ? Ma bourse... Mais qu-quand ai-je bien pu la... Un instant... Où l'avez-vous trouvée ?! [b]Felix[/b] : Arrêtez de poser des questions et contentez-vous de la prendre. [b]Bernadetta[/b] : Non ! C'est un piège ! Un pièèège ! [b]Felix[/b] : Pourquoi vous comportez-vous ainsi ? [b]Bernadetta[/b] : Vous ne voyez donc pas que vous me terrifiez ?! Croyez-moi, ma panique n'a rien de feinte ! [b]Felix[/b] : Quelle femme compliquée vous faites. Allons, prenez votre bourse. [b]Bernadetta[/b] : Je ne peux pas ! Vos yeux sont si froids, j'en suis pétrifiée ! [b]Felix[/b] : Taisez-vous et prenez votre bourse ! [b]Bernadetta[/b] : Non ! J-Je vous en prie, ne me tuez paaaaas ! [b]Felix[/b] : Comment ? Mais qui donc ? [b]Bernadetta[/b] : Une épée ?! Il a une épée ! Aaaaaaaahhh !!! [b]Felix[/b] : Mon épée ! Comment avez-vous... [b]Bernadetta[/b] : Laissez-moi tranquiiiiiille !!! [b]Felix[/b] : Quelle étrange personne… Mais elle a piqué mon intérêt. Je n'avais encore jamais vu une technique pareille… Et je ne lui ai toujours pas rendu sa bourse. [b][u]Rang B[/u][/b] [b]Felix[/b] : Vous, là. [b]Bernadetta[/b] : Aaah ! Qu'est-ce que j'ai fait ?! [b]Bernadetta[/b] : Je vous dérange, c'est ça ? Bien sûr que oui, je le sais bien ! Pardon, ma présence est un fardeau pour moi aussi... [b]Felix[/b] : Je n'ai rien dit de tel. Restez donc ici. Vous passez votre temps à vous enfuir. Ma présence vous est donc tellement insupportable ? [b]Bernadetta[/b] : Insupportable ! Parfaitement ! Un instant... Que... Non, je voulais dire... C'est ma présence à moi qui... [b]Felix[/b] : Peu importe. Vous souvenez-vous du moment où vous vous êtes glissée derrière moi, jetant mon épée à terre ? J'aimerais que vous me montriez comment vous avez fait. [b]Bernadetta[/b] : Votre épée ? Vous montrer ? Comment j'ai fait ?! V-Vous plaisantez, n'est-ce pas ? Parce que je n'ai jamais rien entendu d'aussi ridicule ! [b]Felix[/b] : Si c'est ce que vous pensez... Je vous ai pourtant vue de mes yeux. Se pourrait-il que vous n'en ayez pas souvenir ? Vous vous êtes déplacée plus vite que l'éclair, et avant même que j'aie pu réagir... [b]Bernadetta[/b] : Non, ce n'était pas Nadette ! Vous avez dû tout imaginer. À moins que vous ayez une preuve qu'il s'agissait bien de moi ? [b]Felix[/b] : J'ai bien une preuve. La bourse que vous avez laissé tomber. [b]Bernadetta[/b] : Ma bourse... Hiiiii ! Non, un instant... Ce... Ce n'est pas la mienne. Vous ne pouvez pas le prouver. [b]Felix[/b] : Cessez de jouer l'innocente. [b]Bernadetta[/b] : Mais je suis innocente ! Vous vous trompez ! Sainte Seiros, très miséricordieuse, j'implore votre secours ! [b]Felix[/b] : Tout cela n'a aucun sens. Ah... Ceci dit… Si j'essayais de lui faire peur à nouveau, elle aurait peut-être à nouveau recours à sa technique... [b]Bernadetta[/b] : À l'aiiiiiiiide !!! [b]Felix[/b] : ... [b]Felix[/b] : J'abandonne. Nous n'avons plus rien à nous dire. [b]Bernadetta[/b] : Mensonges ! Ce ne sont que des mensonges ! Je n'ai rien fait de mal, rien... du... tout ? Où... Où est-il donc passé ? [b][u]Rang A[/u] (Fleur Vermeille/Lune d’Azur/Vent Emeraude/Neiges Argentées)[/b] [b]Felix[/b] : Mais c'est Bernadetta ! Elle est poursuivie par des ennemis. Qu'est-ce qui lui a pris de s'aventurer seule dehors, faible comme elle est ? On ne peut pas lui tourner le dos une seconde... [b]Escroc[/b] : Hé hé hé... Vous nous avez bien fait courir, ma petite dame ! Mais vous pouvez plus vous enfuir. [b]Bernadetta[/b] : À l'aiiiiiiide, je suis perduuuue ! [b]Escroc[/b] : Qu'est-ce que... ? Mon épée ! [b]Felix[/b] : Ah ! Revoilà sa technique ! Mais ce n'est pas le moment de rester les bras croisés. Vous êtes saine et sauve, n'est-ce pas ? [b]Bernadetta[/b] : Felix ?! C'est bien vous ! M-Merci, merci de tout cœur ! Je croyais ma dernière heure venue ! Vous m'avez sauvé la vie ! Comment pourrai-je jamais vous remercier ! Oh ? [b]Felix[/b] : Cessez de jacasser et calmez-vous un peu. C'est à moi de vous remercier. [b]Bernadetta[/b] : Que dites-vous ? [b]Felix[/b] : Si vous ne vous étiez pas mise dans cette situation critique, je n'aurais pas pu vous voir répéter votre technique. Mais je comprends désormais. Pendant un bref instant, vous agitez vos bras comme une créature qui n'aurait rien d'humain. [b]Felix[/b] : Si je parvenais à maîtriser cette technique, je n'en serais que plus fort... [b]Bernadetta[/b] : Ma foi, si vous estimez que je vous ai été de quelque secours, j'en suis heureuse. [b]Felix[/b] : En revanche, votre cri de guerre est du dernier pathétique, vous devriez peut-être le travailler. [b]Bernadetta[/b] : Oh, je vous en prie, ne vous moquez pas... J'avais atteint le tréfonds du désespoir et... Mais ? Non, impossible… ... [b]Felix[/b] : Qu'y a-t-il ? Qu'avez-vous à me fixer ainsi ? [b]Bernadetta[/b] : Mais vous souriez ! Et je ne parle pas d'un rictus, mais d'un bon et franc sourire ! Vous êtes une vraie petite noisette, Felix ! Aussi dur à l'extérieur que tendre à l'intérieur ! [b]Felix[/b] : Hm. Vous pouvez garder vos comparaisons stupides. [b]Bernadetta[/b] : Ooh, voilà que vous rentrez dans votre coque ! [b]Felix[/b] : Ça suffit ! Cessez de rire de moi ou vous allez le regretter amèrement ! [b]Bernadetta[/b] : Hiiii ! Ne vous fâchez pas, par pitiééééé ! [b][u]Rang A+[/u] (Fleur Vermeille/Lune d’Azur/Vent Emeraude/Neiges Argentées)[/b] [b]Bernadetta[/b] : Oh ! Bonjour, Felix ! Pourrais-je vous parler un instant ? [b]Felix[/b] : Que se passe-t-il ? Je vous écoute. [b]Bernadetta[/b] : Regardez, là-bas ! Un chaton ! N'est-il pas adorable ? [b]Felix[/b] : Hm, je ne peux pas dire le contraire, en effet. Je n'ai pas d'aversion pour les [b]Bernadetta[/b] : Tenez, Felix, goûtez donc ceci. C'est une sucrerie, mais on sent très peu le sucre. [b]Felix[/b] : [i]Non, je vous remercie. Je ne mange jamais de sucreries. (Si Felix et Lysithea ont atteint un soutien de rang B)[/i] [i][b]Si elles ne sont pas trop sucrées, je veux bien en goûter une. (Si Felix et Lysithea n’ont pas atteint un soutien de rang B)[/b][/i] [b]Bernadetta[/b] : Avez-vous un moment ? J'ai un livre passionnant et... [b]Felix[/b] : Je peux savoir à quoi vous jouez ? [b]Bernadetta[/b] : Pardon ? [b]Felix[/b] : Qu'est-ce qui vous prend de venir me voir sans cesse ? Et plus étonnant encore, où est passée votre timidité maladive ? [b]Bernadetta[/b] : Oh, je suis toujours aussi timide qu'auparavant. [b]Felix[/b] : Alors comment se fait-il que vous soyez toujours accrochée à mes basques ? [b]Bernadetta[/b] : C'est que... Eh bien, vous savez, si les fantômes font peur, c'est uniquement parce qu'on ne peut ni les voir ni leur parler... [b]Felix[/b] : C'est moi que vous traitez de fantôme ? [b]Bernadetta[/b] : Quoiii ? Bien sûr que non, c-ce n'était qu'une métaphoooore ! [b]Felix[/b] : Hm. Voilà que vous recommencez avec vos comparaisons idiotes. [b]Bernadetta[/b] : Ohhh ! Le voilà ! Ce sourire, à l'instant ! [b]Felix[/b] : Qu'est-ce que... ? [b]Bernadetta[/b] : Voilà pourquoi je passe tout ce temps auprès de vous ! Pour vous voir sourire à nouveau ! [b]Felix[/b] : Hm. Tu parles d'une déception. Vous poursuiviez un but bien trivial. C'était donc pour cela que vous me harceliez sans la moindre trace de crainte ? Vous avez bien grandi. [b]Bernadetta[/b] : I-Il faut croire, oui... Mais vous... vous m'avez fait un compliment ?! S'est-il produit quelque chose d'horrible ? [i][b]Une dispute avec un ami de longue date ? (Nuées Blanches - si Sylvain, Dimitri et Ingrid sont vivants/Autres Routes - si la bataille “Retrouvailles à Gronder” n’a pas été complétée et que Sylvain, Ingrid et Dimitri sont vivants)[/b][/i] [b]Felix[/b] : ... [b]Bernadetta[/b] : Oh, je connais la chanson. À présent, vous allez vous fâcher contre moi, c'est bien ça ? [b]Felix[/b] : Peu importe. Alors, quel était ce livre que vous vouliez que nous lisions ? [b]Bernadetta[/b] : Oh ? Euh, eh bien, oui, hem… C'est... C'est celui-ci. Si cela vous convient ![/justify] [center][url=https://communaute-fireemblem.fr/fireemblem.php?version=16&sous_categorie=4037]Tous les soutiens de Bernadetta[/url] [url=https://communaute-fireemblem.fr/fireemblem?version=16&sous_categorie=4046]Tous les soutiens de Felix[/url][/center]
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