[center][size=18][b][img=100x100]https://communaute-fireemblem.fr/upload/images/607a112ba326ed77f3aa2667019350d681d25e38.png[/img]Ignatz - Raphael[/b][/size][img=100x100]https://communaute-fireemblem.fr/upload/images/5c8a4f79eeb5f24bea165ce33fdc406ec5e9f3e0.png[/img][/center] [b][u]Rang C[/u][/b] [justify] [b]Raphael[/b] : Wouhou ! C'est l'heure de la becquetance ! Bonjour, Ignatz, cette place est prise ? [b]Ignatz[/b] : Oh, bonjour Raphael... J'ai terminé mon repas, prenez donc mon siège si vous le désirez. [b]Raphael[/b] : Vraiment ? Mais il y a encore à manger dans votre auge... [b]Ignatz[/b] : Ah, ce n'est rien, je n'ai pas très faim. Sur ce, je vous laisse ! [b]Raphael[/b] : Oh, d'accord. Bonjour, Ignatz ! Vous voulez qu'on s'entraîne ensemble ? [b]Ignatz[/b] : Ah... Oh, mais cette machine est maculée de rouille ! Elle a bien besoin d'un peu d'huile ! [b]Raphael[/b] : Qu'est-ce que ça peut faire ? Elle a toujours été ainsi ! Allez, il sera bien temps de s'en occuper plus tard. [b]Ignatz[/b] : Non, il convient d'y remédier séance tenante. N'y avait-il pas de l'huile dans l'entrepôt ? Je reviens incessamment ! [b]Raphael[/b] : Bonjour, Ignatz ! [b]Ignatz[/b] : Oh, bonjour Raphael. [b]Raphael[/b] : Vous avez un moment ? J'aimerais vous parler. [b]Ignatz[/b] : Non, hum... Oh, j'allais oublier, il me faut rapporter cet ouvrage à la bibliothèque ! Je dois donc... [b]Raphael[/b] : Oh, un instant, voulez-vous ? Combien de temps vous comptez vous échapper comme ça ? [b]Ignatz[/b] : Comment ? Mais non ! Je... Je ne m'échappe pas. [b]Raphael[/b] : Un peu, que vous vous échappez ! À chaque fois que je cherche à vous parler, vous bricolez une excuse et vous vous carapatez ! Que se passe-t-il ? Où est passé le petit garçon amical que j'ai connu dans mon enfance ? Celui qui bondissait toujours de joie à l'idée de me montrer ses affaires à chacune de mes visites… Et avec qui nous jouions à cache-cache avec ma sœurette, avec qui nous dessinions et faisions tant d'autres choses ! Vous avez oublié ? [b]Ignatz[/b] : Rien ne peut être comme avant. C'est regrettable, mais c'est ainsi. [b]Raphael[/b] : Regrettable ? Qu'est-ce qui est regrettable ? [i][b]Ignatz[/b] : Je parle... de ce qu'il est advenu de vos parents. C'est à cause de mes parents que les vôtres nous ont quittés. [b]Raphael[/b] : Vous vous tourmentez encore pour ça ? Je vous l'ai pourtant déjà dit. C'était un accident. (Si la bataille “La route de la mort” a été réalisée)[/i] [i][b]Ignatz : Je parle... de ce qu'il est advenu de vos parents. Mes parents sont à l'origine du trépas des vôtres. [b]Raphael[/b] : De quoi parlez-vous ? Mes parents sont morts dans un accident alors qu'ils se déplaçaient pour le travail ! [b]Ignatz[/b] : Peut-être, mais ils avaient pris la place des miens, ce jour-là. D'autres affaires avaient éloigné mes parents de leur travail. Ils ont donc recommandé les vôtres pour les remplacer. [b]Raphael[/b] : Oh... Je ne savais pas. Mais quel rapport avec notre amitié ? (Si la bataille “La route de la mort” n’a pas été réalisée)[/b][/i] [b]Ignatz[/b] : Allons, voyez un peu ! Je... [b]Raphael[/b] : Je vois très bien. Mais nous en avons assez parlé. Vous devez arrêter de vous torturer. C'était un accident. [b]Ignatz[/b] : Il fait semblant, j'en suis certain. Nul ne pardonne aussi facilement. [b][u]Rang B[/u][/b] [b]Raphael[/b] : Yah ! Aaah ! Hi-ha ! Bonjour, Ig… Ignatz ? [b]Ignatz[/b] : Miam, miam... [b]Raphael[/b] : Tiens, Ignatz ! Qu'est-ce qui lui prend ? [b]Ignatz[/b] : Snif... [b]Raphael[/b] : HÉ ! [b]Ignatz[/b] : AAAAHH ! [b]Raphael[/b] : Dites, vous avez un drôle de comportement ces temps-ci. Vous êtes souffrant ? [b]Ignatz[/b] : R-R-Raphael ! Non, je... je vais bien. [b]Raphael[/b] : Alors qu'est-ce qui se passe ? Il y a quelque chose qui vous turlupine ? Vous voulez en parler ? [b]Ignatz[/b] : Non, il n'y a rien qui me « turlupine ». Je me tourmente à propos de vos parents... [b]Raphael[/b] : Dites donc ! [b]Ignatz[/b] : Aaah ! Mais que... ? [b]Raphael[/b] : Je vous ai déjà dit de laisser tomber ! Oubliez ça ! [b]Ignatz[/b] : Comment voulez-vous que j'oublie ? Vous avez perdu vos parents ! Et les miens n'ont pas levé le petit doigt pour vous venir en aide. [b]Raphael[/b] : Et qu'est-ce qu'ils auraient pu faire ? Ils ne les ont pas tués, que je sache. Et puis tout ça, c'est leurs histoires, non ? On a rien à voir là-dedans. [b]Ignatz[/b] : Pourtant, je ne peux réprimer un sentiment de culpabilité, l'impression d'avoir une dette envers vous. [b]Raphael[/b] : Écoutez, si vous voulez m'aider, soyez mon ami comme vous l'étiez autrefois. Régalons-nous de bons petits plats, jouons ensemble, échangeons de bonnes plaisanteries et rions à nous en tenir les côtes ! [b]Ignatz[/b] : Est-ce vraiment ce que vous désirez ? [b]Raphael[/b] : Et comment ! Nous étions de bons amis, et je ne vois pas pourquoi nous ne le serions plus ! [b]Ignatz[/b] : Raphael... merci. Et pardonnez mon attitude passée. [b][u]Rang A[/u] (Fleur Vermeille/Lune d’Azur/Vent Emeraude/Neiges Argentées)[/b] [b]Raphael[/b] : ... [b]Ignatz[/b] : Tiens, Raphael ? Est-ce une lettre que vous lisez ? [b]Raphael[/b] : Oh, ce cher Ignatz ! Oui, c'est ma sœurette qui m'écrit. [b]Ignatz[/b] : Ah, Maya ? Eh bien, voilà qui ne me rajeunit guère. Ce doit être une vraie jeune femme, désormais. [b]Raphael[/b] : Non, c'est toujours une petite crevette. Je ne l'ai plus vue depuis un moment, mais elle doit vous arriver aux épaules. [b]Ignatz[/b] : Elle a donc tout de même bien grandi ! [b]Raphael[/b] : Quand je lui ai écrit qu'on était à nouveau amis, elle était ravie ! D'ailleurs, vous vous souvenez de ceci ? [b]Ignatz[/b] : Ah, le dessin que je lui avais griffonné ? [b]Raphael[/b] : Elle l'a glissé dans l'enveloppe avec la lettre. Elle l'avait gardé depuis tout ce temps ! C'est bon, vous l'avez assez regardé ? Elle m'a demandé de vous le montrer puis de le lui renvoyer. [b]Ignatz[/b] : Ha ha ha... Il ne s'agit que d'une modeste esquisse, et elle le chérit comme un trésor... Il y a de quoi vous réchauffer le cœur. Je me souviens du jour où je l'ai donné à Maya. Elle rayonnait de bonheur… J'ignorais que mes œuvres pussent inspirer une telle joie. Ce fut une révélation. Depuis lors, je n'ai jamais cessé de crayonner, ni de nourrir l'espoir de devenir un artiste. [b]Raphael[/b] : Vous avez bien fait, car vous vous êtes bien amélioré ! Je parie que vous ferez un artiste exceptionnel ! [b]Ignatz[/b] : Je crains que ce ne soit impossible. Mes parents ne soutiennent guère cette vocation. [b]Raphael[/b] : Vos parents rechignent, et alors ? Vous n'êtes pas un noble, l'ami, vous pouvez faire ce que vous voulez de votre vie ! [b]Ignatz[/b] : Vous croyez ? [b]Raphael[/b] : J'en suis sûr ! Quant à moi, je vous soutiendrai dans la poursuite de vos rêves ! D'ailleurs, par quoi pourrait-on commencer... ? Oh, je sais ! Si vous faisiez mon portrait ? [b]Ignatz[/b] : Hein ? Votre portrait ? [b]Raphael[/b] : Je veux montrer à ma sœur que tout va bien pour moi, alors il faut que je lui envoie une preuve ! Et quand elle saura que c'est vous qui l'avez fait... Ce sera double ration de bonheur ! [b]Ignatz[/b] : Vous avez raison ! Je mettrai toute mon énergie dans la réalisation de votre portrait ! Mon crayon s'efforcera de restituer la joie qui illumine votre visage, et Maya pourra dormir sur ses deux oreilles ! [b]Raphael[/b] : Mon visage ? Mais non, vous n'y êtes pas, l'ami ! Je veux que vous croquiez mes muscles ! Veillez à représenter mon torse et mes biceps. [b]Ignatz[/b] : Euh... Je ne crois pas que tel soit le désir de Maya... [b]Raphael[/b] : Un instant ! Je vais de ce pas soulever quelques poids supplémentaires avant que vous ne commenciez ! Quel est l'intérêt si mes muscles n'y apparaissent pas protubérants en diable ? [b]Ignatz[/b] : J'ai quelques réticences...[/justify] [center][url=https://communaute-fireemblem.fr/fireemblem.php?version=16&sous_categorie=4053]Tous les soutiens d'Ignatz[/url] [url=https://communaute-fireemblem.fr/fireemblem?version=16&sous_categorie=4064]Tous les soutiens de Raphael[/url][/center]