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/ Leonie - Lorenz
[center][size=18][b][img=100x100]https://communaute-fireemblem.fr/upload/images/6ec213237d8d1b85124b9e73eb5a37cf7b101058.png[/img]Leonie - Lorenz[/b][/size][img=100x100]https://communaute-fireemblem.fr/upload/images/3817451a4ce58e9e632c11a76db185769c1cdb52.png[/img][/center] [b][u]Rang C[/u][/b] [justify] [b]Leonie[/b] : Salut Lorenz. Vous avez un instant ? [b]Lorenz[/b] : Bien entendu. Vous portez-vous bien ? [b]Leonie[/b] : Mieux que ça ! Je suis tombée sur une cargaison de vieilles armes. Je viens juste de finir de les traîner hors de l'entrepôt. [b]Lorenz[/b] : D'anciennes armes, dites-vous ? Si vous y avisez des épées de qualité, je ne demande pas mieux qu'à les examiner. b]Leonie[/b] : Pas sûr qu'elles soient bonnes à grand-chose à part pour l'entraînement. Mais en les bichonnant un peu, qui sait ? Tenez, prenez cette huile. [b]Lorenz[/b] : Et que suis-je supposé en faire ? [b]Leonie[/b] : Comme dit, il va falloir y mettre un coup de chiffon. Mais avec un peu d'effort, elles seront comme neuves ! [b]Lorenz[/b] : Oui, j'entends bien. Mais je vous interroge derechef : pourquoi me confier l'huile ? [b]Leonie[/b] : C'est pour la maintenance, Lorenz. Vous allez pas me dire que vous avez jamais astiqué une arme ? [b]Lorenz[/b] : Certes non. Il ne s'agit pas là d'une besogne digne de ma condition. Si toutefois vous découvriez une lame d'exception dont la valeur historique serait susceptible d'enrichir mon noble patrimoine, je pourrais l'envisager. [b]Leonie[/b] : Vous aurez tout le loisir de les estimer en les récurant ! Vous trouverez forcément votre bonheur là-dedans. [b]Lorenz[/b] : Leonie, le tour de nos conversations me contrarie, et le moment ne me semble guère plus mal choisi qu'un autre pour vous exposer mes griefs. Je suis un noble de haute lignée. En tant que tel, j'ai fait serment de protéger le vulgaire. De telles responsabilités me tiennent à l'écart de ces frivolités. De surcroît, vous semblez nourrir le fol sentiment de pouvoir me donner des ordres. Je vous saurai gré d'être davantage circonspecte dans vos propos. [b]Leonie[/b] : Je ne vous donne pas d'ordres. Et c'est pas au noble que je m'adresse, d'ailleurs. Je vous demande de me donner un coup de main. Entre amis. [b]Lorenz[/b] : L'amitié qui me lie à vous ne me dépossède pas de mon statut nobiliaire. Ces qualités ne s'excluent en rien. [b]Leonie[/b] : Oh, parfait ! Alors au boulot, l'ami ! [b]Lorenz[/b] : Grr… [b][u]Rang B[/u][/b] [b]Lorenz[/b] : Bonjour Leonie. Toujours à l'ouvrage, je vois. [b]Leonie[/b] : Ouais ! On a du boulot. Pas comme les noblions. Hé, vous voyez pas que je suis chargée comme une mule ? Allez, écartez-vous du passage. [b]Lorenz[/b] : Hélas, je me vois contraint de décliner votre requête. [b]Leonie[/b] : Alors on peut même pas demander à un noble de se pousser un peu ? C'est une blague, c'est ça ? Vous plaisantez ? [b]Lorenz[/b] : Vous souffrez d'une blessure au pied. Ainsi que votre tendance à le ménager en témoigne. [b]Leonie[/b] : Quoi ? [b]Lorenz[/b] : Vous accabler de chargement ne fera qu'aggraver le mal. Je vous en prie, laissez-moi l'examiner. [b]Leonie[/b] : Hé, arrêtez un peu ! S'incliner devant le bas peuple, c'est pas dégradant pour un noble ou je ne sais quoi ? [b]Lorenz[/b] : Je ne m'incline pas. Je soigne votre blessure. [b]Leonie[/b] : C'est pas l'impression que ça va donner. Allez, c'est bon ! Arrêtez ! [b]Lorenz[/b] : Soulager les fardeaux du vulgaire est un devoir naturel de la noblesse. Maintenant, veuillez vous tenir tranquille un instant, vous m'obligeriez. [b]Leonie[/b] : C'est une jolie formule pour dire que vous vous baladez d'un château à l'autre à vous la couler douce. Je peux vous dire que dans mon village, on meurt de gratitude quand on se fait saigner par des taxes qui ne visent qu'à entretenir vos privilèges et... Aïe ! [b]Lorenz[/b] : C'est enflé. De plus, vous souffrez de fièvre ! Fort heureusement, je dispose d'un onguent qui devrait faire des miracles. [b]Leonie[/b] : Comment ça, vous trimballez votre barda partout avec vous ? [b]Lorenz[/b] : Naturellement. J'aurais beau jeu à me trouver démuni face aux nécessiteux. [b]Leonie[/b] : Je comprends pas, Lorenz. [b]Lorenz[/b] : J'ai négligé d'emporter mes bandages, cependant. Ce mouchoir devra en tenir lieu, j'en ai peur. [b]Leonie[/b] : Quoi ? Vous savez combien il vaut ? Tu parles d'un gâchis ! Ça ira, merci bien ! Je me passe d'un noble qui vient étaler sa compassion ! [b]Lorenz[/b] : Et le secours d'un ami, le dédaignerez-vous ? Je jouis de ce statut aussi bien que de celui de noble, s'il vous en souvient. [b]Leonie[/b] : Toujours cette logique tordue... [b]Lorenz[/b] : Voilà qui devrait soulager votre souffrance. Et puisque vous voilà convalescente, permettez que je transporte également votre fardeau. Adieu ! [b]Leonie[/b] : Y a quelque chose qui m'échappe chez ce type. Oh non ! J'ai complètement oublié de le remercier ! [b][u]Rang A[/u] (Fleur Vermeille/Lune d’Azur/Vent Emeraude/Neiges Argentées)[/b] [b]Leonie[/b] : Vous avez une minute, Lorenz ? [b]Lorenz[/b] : Leonie ? Sollicitez-vous à nouveau mon aide pour affûter vos armes ? [b]Leonie[/b] : Non ! Je suis venue vous rendre votre mouchoir. Excusez-moi, j'aurais dû vous le rendre plus tôt. [b]Lorenz[/b] : ... [b]Leonie[/b] : Vous me l'avez prêté, vous vous rappelez ? [b]Lorenz[/b] : Je n'envisageais pas cela comme un prêt. Il revient à la noblesse de gratifier le vulgaire. Celui-ci ne doit que respect en retour. [b]Leonie[/b] : Ben voyons. Vous oubliez juste que c'est aussi les nobles qui se gavent sur le dos des petites gens… [b]Lorenz[/b] : Le vulgaire offre le fruit de son labeur à la noblesse, de son plein gré, en signe de déférence. Les nobles ne s'en emparent pas. Vous l'ignorez peut-être, mais c'est précisément dans ce cadre que le chef du village de Sauin offre son tribut. [b]Leonie[/b] : Sauin ? Mais c'est mon village ! Vous le saviez ? [b]Lorenz[/b] : Bien sûr. J'ai accordé un droit de chasse exclusif à ce village. Nul étranger n'en goûtera le gibier. J'ai également supervisé des querelles juridiques et envoyé des mercenaires corriger les braconniers. [b]Leonie[/b] : C'est donc ce qui explique que Jeralt y soit allé... [b]Lorenz[/b] : Qu'y a-t-il ? [b]Leonie[/b] : Bref. Prenez votre mouchoir. C'est normal de rapporter à ses amis ce qu'on leur a emprunté. [b]Lorenz[/b] : Très bien. Dans ce cas, je l'accepte. [b]Leonie[/b] : Je m'en vais vous dire quelque chose : arrêtez un peu de croire que les nobles doivent secourir tout le monde et que le bas peuple est bon qu'à dire merci. Les amis s'entraident... peu importe la position sociale. [b]Lorenz[/b] : Si fait... Ainsi, s'il m'arrive d'avoir à mon tour besoin du soutien d'un ami, croyez que j'en conviendrai sans faire de manières. Mais exclusivement auprès d'un ami. Quant au tout-venant, il m'est impossible d'accepter son entremise. Imaginez ma disgrâce si je m'y résolvais ! Ha ha ha ! [b]Leonie[/b] : Ah, je croyais que ce type était un abruti… Mais c'est juste qu'il fait une fixation sur le fait de jouer les nobles de première classe. Ah ! Flûte ! Je lui ai pas rendu son mouchoir avec tout ça. [b][u]Rang A+[/u] (Fleur Vermeille/Lune d’Azur/Vent Emeraude/Neiges Argentées)[/b] [b]Lorenz[/b] : Leonie, cette blessure n'est pas si vilaine. Une égratignure, tout au plus. [b]Leonie[/b] : Vous faites une boulette pareille sur le champ de bataille, et rideau ! C'est la main avec laquelle vous vous battez, en plus ? Il faut stopper l'hémorragie. [b]Lorenz[/b] : Navré, je vous cause du tracas... [b]Leonie[/b] : Eh, gardez vos « navré » pour vous. On dit « merci » dans ces cas-là. C'est normal d'aider un ami. Hmmm... [b]Lorenz[/b] : Qu'y a-t-il ? [b]Leonie[/b] : J'ai pas le moindre morceau d'étoffe pour arrêter le saignement. À part ceci... [b]Lorenz[/b] : Mon mouchoir. [b]Leonie[/b] : Je me suis dit que j'aurais l'occasion de vous le rendre à un moment donné, du coup il me quitte plus. Ça vous ennuie que je m'en serve ? [b]Lorenz[/b] : Ma foi, voilà qui boucle la boucle, n'est-ce pas ? [b]Leonie[/b] : Faut croire... Même si vous auriez pu vous passer de l'hémorragie. Mais enfin, ça me fait plaisir de voir que vous voulez bien le récupérer. Je vous rappelle que vous m'avez envoyée sur les roses, la dernière fois. [b]Lorenz[/b] : En effet. J'ai argué du fait qu'un noble ne saurait accepter l'assistance du vulgaire, ou quelque chose d'approchant. [b]Leonie[/b] : Je comprenais pas pourquoi vous vous embêtiez avec ce genre de règles. Mais je crois que ça commence à venir. À mon avis, si tous les nobles étaient comme vous, le monde s'en porterait un peu mieux. [b]Lorenz[/b] : Mais... l'entraide dont se gratifient deux amis est une belle chose également. Bien des réalisations peuvent être accomplies ainsi. À plus forte raison avec des amies telle que vous... [b]Leonie[/b] : Moi ? [b]Lorenz[/b] : Peut-être est-ce la première fois qu'on vous exprime ceci directement... Je témoigne de votre excellence, Leonie. Et pourtant... Je me suis montré grossier envers vous sous le prétexte d'une différence de statut. Je vous prie de me pardonner. Promettons-nous dorénavant de veiller l'un sur l'autre, ainsi que deux amis le feraient. [b]Leonie[/b] : C'était bien mon intention... Pas besoin de serment. Vous n'aviez pas tort quand vous parliez de choses que seuls les nobles peuvent faire, et des choses que seules les petites gens peuvent faire. Ce qui compte avant tout, c'est de s'aider les uns les autres. [b]Lorenz[/b] : Vous avez raison... C'est grâce à vous que mes yeux se sont dessillés à ce sujet, Leonie. Et je dois vous avouer que depuis quelque temps... il m'arrive de penser à vous autrement que ne le permet le strict cadre de l'amitié... [b]Leonie[/b] : Hein ? Qu'est-ce que vous disiez ? J'ai pas entendu. [b]Lorenz[/b] : Je disais que j'espérais toujours pouvoir compter sur votre soutien comme je compte sur le vôtre ![/justify] [center][url=https://communaute-fireemblem.fr/fireemblem.php?version=16&sous_categorie=4056]Tous les soutiens de Leonie[/url] [url=https://communaute-fireemblem.fr/fireemblem?version=16&sous_categorie=4058]Tous les soutiens de Lorenz[/url][/center]
Par
Soren57
Titre :
[center][size=18][b][img=100x100]https://communaute-fireemblem.fr/upload/images/6ec213237d8d1b85124b9e73eb5a37cf7b101058.png[/img]Leonie - Lorenz[/b][/size][img=100x100]https://communaute-fireemblem.fr/upload/images/3817451a4ce58e9e632c11a76db185769c1cdb52.png[/img][/center] [b][u]Rang C[/u][/b] [justify] [b]Leonie[/b] : Salut Lorenz. Vous avez un instant ? [b]Lorenz[/b] : Bien entendu. Vous portez-vous bien ? [b]Leonie[/b] : Mieux que ça ! Je suis tombée sur une cargaison de vieilles armes. Je viens juste de finir de les traîner hors de l'entrepôt. [b]Lorenz[/b] : D'anciennes armes, dites-vous ? Si vous y avisez des épées de qualité, je ne demande pas mieux qu'à les examiner. b]Leonie[/b] : Pas sûr qu'elles soient bonnes à grand-chose à part pour l'entraînement. Mais en les bichonnant un peu, qui sait ? Tenez, prenez cette huile. [b]Lorenz[/b] : Et que suis-je supposé en faire ? [b]Leonie[/b] : Comme dit, il va falloir y mettre un coup de chiffon. Mais avec un peu d'effort, elles seront comme neuves ! [b]Lorenz[/b] : Oui, j'entends bien. Mais je vous interroge derechef : pourquoi me confier l'huile ? [b]Leonie[/b] : C'est pour la maintenance, Lorenz. Vous allez pas me dire que vous avez jamais astiqué une arme ? [b]Lorenz[/b] : Certes non. Il ne s'agit pas là d'une besogne digne de ma condition. Si toutefois vous découvriez une lame d'exception dont la valeur historique serait susceptible d'enrichir mon noble patrimoine, je pourrais l'envisager. [b]Leonie[/b] : Vous aurez tout le loisir de les estimer en les récurant ! Vous trouverez forcément votre bonheur là-dedans. [b]Lorenz[/b] : Leonie, le tour de nos conversations me contrarie, et le moment ne me semble guère plus mal choisi qu'un autre pour vous exposer mes griefs. Je suis un noble de haute lignée. En tant que tel, j'ai fait serment de protéger le vulgaire. De telles responsabilités me tiennent à l'écart de ces frivolités. De surcroît, vous semblez nourrir le fol sentiment de pouvoir me donner des ordres. Je vous saurai gré d'être davantage circonspecte dans vos propos. [b]Leonie[/b] : Je ne vous donne pas d'ordres. Et c'est pas au noble que je m'adresse, d'ailleurs. Je vous demande de me donner un coup de main. Entre amis. [b]Lorenz[/b] : L'amitié qui me lie à vous ne me dépossède pas de mon statut nobiliaire. Ces qualités ne s'excluent en rien. [b]Leonie[/b] : Oh, parfait ! Alors au boulot, l'ami ! [b]Lorenz[/b] : Grr… [b][u]Rang B[/u][/b] [b]Lorenz[/b] : Bonjour Leonie. Toujours à l'ouvrage, je vois. [b]Leonie[/b] : Ouais ! On a du boulot. Pas comme les noblions. Hé, vous voyez pas que je suis chargée comme une mule ? Allez, écartez-vous du passage. [b]Lorenz[/b] : Hélas, je me vois contraint de décliner votre requête. [b]Leonie[/b] : Alors on peut même pas demander à un noble de se pousser un peu ? C'est une blague, c'est ça ? Vous plaisantez ? [b]Lorenz[/b] : Vous souffrez d'une blessure au pied. Ainsi que votre tendance à le ménager en témoigne. [b]Leonie[/b] : Quoi ? [b]Lorenz[/b] : Vous accabler de chargement ne fera qu'aggraver le mal. Je vous en prie, laissez-moi l'examiner. [b]Leonie[/b] : Hé, arrêtez un peu ! S'incliner devant le bas peuple, c'est pas dégradant pour un noble ou je ne sais quoi ? [b]Lorenz[/b] : Je ne m'incline pas. Je soigne votre blessure. [b]Leonie[/b] : C'est pas l'impression que ça va donner. Allez, c'est bon ! Arrêtez ! [b]Lorenz[/b] : Soulager les fardeaux du vulgaire est un devoir naturel de la noblesse. Maintenant, veuillez vous tenir tranquille un instant, vous m'obligeriez. [b]Leonie[/b] : C'est une jolie formule pour dire que vous vous baladez d'un château à l'autre à vous la couler douce. Je peux vous dire que dans mon village, on meurt de gratitude quand on se fait saigner par des taxes qui ne visent qu'à entretenir vos privilèges et... Aïe ! [b]Lorenz[/b] : C'est enflé. De plus, vous souffrez de fièvre ! Fort heureusement, je dispose d'un onguent qui devrait faire des miracles. [b]Leonie[/b] : Comment ça, vous trimballez votre barda partout avec vous ? [b]Lorenz[/b] : Naturellement. J'aurais beau jeu à me trouver démuni face aux nécessiteux. [b]Leonie[/b] : Je comprends pas, Lorenz. [b]Lorenz[/b] : J'ai négligé d'emporter mes bandages, cependant. Ce mouchoir devra en tenir lieu, j'en ai peur. [b]Leonie[/b] : Quoi ? Vous savez combien il vaut ? Tu parles d'un gâchis ! Ça ira, merci bien ! Je me passe d'un noble qui vient étaler sa compassion ! [b]Lorenz[/b] : Et le secours d'un ami, le dédaignerez-vous ? Je jouis de ce statut aussi bien que de celui de noble, s'il vous en souvient. [b]Leonie[/b] : Toujours cette logique tordue... [b]Lorenz[/b] : Voilà qui devrait soulager votre souffrance. Et puisque vous voilà convalescente, permettez que je transporte également votre fardeau. Adieu ! [b]Leonie[/b] : Y a quelque chose qui m'échappe chez ce type. Oh non ! J'ai complètement oublié de le remercier ! [b][u]Rang A[/u] (Fleur Vermeille/Lune d’Azur/Vent Emeraude/Neiges Argentées)[/b] [b]Leonie[/b] : Vous avez une minute, Lorenz ? [b]Lorenz[/b] : Leonie ? Sollicitez-vous à nouveau mon aide pour affûter vos armes ? [b]Leonie[/b] : Non ! Je suis venue vous rendre votre mouchoir. Excusez-moi, j'aurais dû vous le rendre plus tôt. [b]Lorenz[/b] : ... [b]Leonie[/b] : Vous me l'avez prêté, vous vous rappelez ? [b]Lorenz[/b] : Je n'envisageais pas cela comme un prêt. Il revient à la noblesse de gratifier le vulgaire. Celui-ci ne doit que respect en retour. [b]Leonie[/b] : Ben voyons. Vous oubliez juste que c'est aussi les nobles qui se gavent sur le dos des petites gens… [b]Lorenz[/b] : Le vulgaire offre le fruit de son labeur à la noblesse, de son plein gré, en signe de déférence. Les nobles ne s'en emparent pas. Vous l'ignorez peut-être, mais c'est précisément dans ce cadre que le chef du village de Sauin offre son tribut. [b]Leonie[/b] : Sauin ? Mais c'est mon village ! Vous le saviez ? [b]Lorenz[/b] : Bien sûr. J'ai accordé un droit de chasse exclusif à ce village. Nul étranger n'en goûtera le gibier. J'ai également supervisé des querelles juridiques et envoyé des mercenaires corriger les braconniers. [b]Leonie[/b] : C'est donc ce qui explique que Jeralt y soit allé... [b]Lorenz[/b] : Qu'y a-t-il ? [b]Leonie[/b] : Bref. Prenez votre mouchoir. C'est normal de rapporter à ses amis ce qu'on leur a emprunté. [b]Lorenz[/b] : Très bien. Dans ce cas, je l'accepte. [b]Leonie[/b] : Je m'en vais vous dire quelque chose : arrêtez un peu de croire que les nobles doivent secourir tout le monde et que le bas peuple est bon qu'à dire merci. Les amis s'entraident... peu importe la position sociale. [b]Lorenz[/b] : Si fait... Ainsi, s'il m'arrive d'avoir à mon tour besoin du soutien d'un ami, croyez que j'en conviendrai sans faire de manières. Mais exclusivement auprès d'un ami. Quant au tout-venant, il m'est impossible d'accepter son entremise. Imaginez ma disgrâce si je m'y résolvais ! Ha ha ha ! [b]Leonie[/b] : Ah, je croyais que ce type était un abruti… Mais c'est juste qu'il fait une fixation sur le fait de jouer les nobles de première classe. Ah ! Flûte ! Je lui ai pas rendu son mouchoir avec tout ça. [b][u]Rang A+[/u] (Fleur Vermeille/Lune d’Azur/Vent Emeraude/Neiges Argentées)[/b] [b]Lorenz[/b] : Leonie, cette blessure n'est pas si vilaine. Une égratignure, tout au plus. [b]Leonie[/b] : Vous faites une boulette pareille sur le champ de bataille, et rideau ! C'est la main avec laquelle vous vous battez, en plus ? Il faut stopper l'hémorragie. [b]Lorenz[/b] : Navré, je vous cause du tracas... [b]Leonie[/b] : Eh, gardez vos « navré » pour vous. On dit « merci » dans ces cas-là. C'est normal d'aider un ami. Hmmm... [b]Lorenz[/b] : Qu'y a-t-il ? [b]Leonie[/b] : J'ai pas le moindre morceau d'étoffe pour arrêter le saignement. À part ceci... [b]Lorenz[/b] : Mon mouchoir. [b]Leonie[/b] : Je me suis dit que j'aurais l'occasion de vous le rendre à un moment donné, du coup il me quitte plus. Ça vous ennuie que je m'en serve ? [b]Lorenz[/b] : Ma foi, voilà qui boucle la boucle, n'est-ce pas ? [b]Leonie[/b] : Faut croire... Même si vous auriez pu vous passer de l'hémorragie. Mais enfin, ça me fait plaisir de voir que vous voulez bien le récupérer. Je vous rappelle que vous m'avez envoyée sur les roses, la dernière fois. [b]Lorenz[/b] : En effet. J'ai argué du fait qu'un noble ne saurait accepter l'assistance du vulgaire, ou quelque chose d'approchant. [b]Leonie[/b] : Je comprenais pas pourquoi vous vous embêtiez avec ce genre de règles. Mais je crois que ça commence à venir. À mon avis, si tous les nobles étaient comme vous, le monde s'en porterait un peu mieux. [b]Lorenz[/b] : Mais... l'entraide dont se gratifient deux amis est une belle chose également. Bien des réalisations peuvent être accomplies ainsi. À plus forte raison avec des amies telle que vous... [b]Leonie[/b] : Moi ? [b]Lorenz[/b] : Peut-être est-ce la première fois qu'on vous exprime ceci directement... Je témoigne de votre excellence, Leonie. Et pourtant... Je me suis montré grossier envers vous sous le prétexte d'une différence de statut. Je vous prie de me pardonner. Promettons-nous dorénavant de veiller l'un sur l'autre, ainsi que deux amis le feraient. [b]Leonie[/b] : C'était bien mon intention... Pas besoin de serment. Vous n'aviez pas tort quand vous parliez de choses que seuls les nobles peuvent faire, et des choses que seules les petites gens peuvent faire. Ce qui compte avant tout, c'est de s'aider les uns les autres. [b]Lorenz[/b] : Vous avez raison... C'est grâce à vous que mes yeux se sont dessillés à ce sujet, Leonie. Et je dois vous avouer que depuis quelque temps... il m'arrive de penser à vous autrement que ne le permet le strict cadre de l'amitié... [b]Leonie[/b] : Hein ? Qu'est-ce que vous disiez ? J'ai pas entendu. [b]Lorenz[/b] : Je disais que j'espérais toujours pouvoir compter sur votre soutien comme je compte sur le vôtre ![/justify] [center][url=https://communaute-fireemblem.fr/fireemblem.php?version=16&sous_categorie=4056]Tous les soutiens de Leonie[/url] [url=https://communaute-fireemblem.fr/fireemblem?version=16&sous_categorie=4058]Tous les soutiens de Lorenz[/url][/center]
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