[center][size=18][b][img=100x100]https://communaute-fireemblem.fr/upload/images/af8cec899acd4f5a614f126800b4f8a14d60f788.png[/img]Bernadetta - Byleth (H)[/b][/size][img=100x100]https://communaute-fireemblem.fr/upload/images/bff740f4529e0b7c5902d431dd844fa3db350a88.png[/img][/center] [b][u]Rang C[/u] (Nuées Blanches)[/b] [justify] [b]Voyageur[/b] : Merci, Dame Bernadetta. Si vous le permettez, je me retire. [b]Bernadetta[/b] : Enfin ! Euh... Je veux dire... Au revoir ! Ah, ce n'est pas trop tôt ! C'était tout simplement horrible. J'étais vraiment pétrifiée. [b]Byleth[/b] : [i]Que se passe-t-il ?[/i] // [i][b]Qu'est-ce qui est horrible ?[/b][/i] [b]Bernadetta[/b] :Aaaah ! Mais ne me surprenez pas comme ça ! Ce n'est rien de fou. Cette dame voulait juste que je lui montre le monastère. Les inconnus ont le don de me mettre mal à l'aise, c'est tout. [b]Byleth[/b] : Vous ne m'avez jamais semblé avoir peur de moi. [b]Bernadetta[/b] : [i]Vous en êtes bien sûr ? Et notre première rencontre, alors ? Quand je restais dans mon coin à me cacher le visage ? En fait, maintenant qu'on aborde la question, c'est drôle, dès que j'ai commencé à vous parler, j'ai cessé d'avoir peur de vous. (Neiges Argentées)[/i] [i][b]Maintenant que vous en parlez, je crois que vous avez raison. Avec vous, il me semble bien ne jamais avoir eu peur. (Autres Routes)[/b][/i] Je me demande pourquoi… Vous savez, Professeur, vous êtes la première personne avec qui j'ai pu parler normalement depuis que je suis ici, et j'ignore bien pourquoi. [b]Byleth[/b] : Ce n'en est pas moins satisfaisant. [b]Bernadetta[/b] : C'est bien vrai ! Quand nous avons commencé ici, nous devions faire des exercices d'entraînement. Dehors. Je trouvais la moindre occasion pour ne pas y aller. Eh bien oui, aller en forêt avec tous ces inconnus est une très mauvaise idée ! Mais grâce à vous, maintenant, je vais en cours sans flancher, et je vous en suis reconnaissante. Je ne sais pas comment je m'en sortirais sans vous... [b]Byleth[/b] : Allons, ce n'est rien. [b]Bernadetta[/b] : Désolée... Je vais me reprendre… Je vais bien. Je m'en sors bien, et je me sens en sécurité, grâce à vous. [b]Byleth[/b] : Au fait, était-ce vous qui chantiez dans la serre ? [b]Bernadetta[/b] : Pardon ? V-Vous m'avez vue ? Mais que faisiez-vous là ? Vous m'espionniez ? Vous dépassez vraiment les bornes, Professeur ! Moi, chanter ? Et pourquoi est-ce que je chanterais ? Aaaaah ! Je ne sais vraiment plus où me mettre ! Je suis vraiment nulle ! Une bonne à rien ! Personne ne voudra m'épouser, maintenant ! [b]Byleth[/b] : … [b][u]Rang B[/u][/b] [b]Bernadetta[/b] : Superbe temps aujourd'hui ! C'est le temps parfait pour rester enfermé, n'est-ce pas ? [b]Byleth[/b] : [i]En fait, je crois que je vais sortir.[/i] // [i][b]Parfaitement.[/b][/i] [b]Bernadetta[/b] : [i]Oh, allez-y ! Je reste ici. Quand il fait beau, on étouffe moins, ici ! Tout cet espace libre pour moi, ça ne se refuse pas.[/i] // [i][b]Je suis contente que vous me compreniez. Quand il fait beau comme ça, tout le monde est dehors, et personne ne nous embête ici.[/b][/i] J'adore avoir l'impression d'être seule au monde ! [b]Byleth[/b] : Pourquoi êtes-vous si recluse ? [b]Bernadetta[/b] : Oh. Eh bien, à vous, Professeur, je crois que je peux le dire. Mon père est obsédé par l'argent. Pour lui, j'avais pour seule fonction de devenir l'épouse d'un homme riche. Pour faire de moi une bonne épouse, il avait recours à diverses méthodes, comme m'attacher à une chaise. J'ai essayé de me conformer à ce qu'il voulait, je vous assure. Mais sans même m'en apercevoir, je suis arrivée au point où j'étais incapable de quitter ma chambre. [b]Byleth[/b] : Pourquoi ? [b]Bernadetta[/b] : Parce que je vivais dans une terreur perpétuelle. J'avais beau faire tous ces efforts, mon père n'en était pas moins déçu. Après cela, il n'a cessé de me réprimander. Il ne pouvait pas s'empêcher de me dire que j'étais inutile. Et que personne ne m'épouserait. J'étais vraiment très isolée. Il ne me laissait pas avoir d'amis. J'ai fini par ne plus en vouloir. J'ai décidé que j'étais mieux toute seule. Ma solitude également le mit en colère. Il a alors essayé de me traîner dehors, mais j'ai frappé et crié si fort que j'ai fini par me faire très mal. Depuis quelques années, il s'est un peu calmé. Après m'avoir persécutée, il est devenu indifférent. Il se comporte comme si je n'existais pas. [b]Byleth[/b] : Comment êtes-vous venue au monastère ? [b]Bernadetta[/b] : Eh bien, si vous pouvez me croire, j'ai été enlevée. Ma mère a ordonné à un serviteur de me mettre dans un sac pendant mon sommeil. Le temps que je comprenne, j'étais déjà ici. Pendant un moment, j'étais sûre que j'allais mourir. Mais regardez-moi, je respire encore. Ah, je suis désolée, je ne voulais pas vous déprimer avec mon passé ! Oubliez ce que je viens de vous raconter. De toute façon, je ne suis pas intéressante. Nadette, espèce d'idiote ! C'est pour ça que tout le monde te déteste ! [b]Byleth[/b] : [i]Tout va bien, calmez-vous.[/i] // [i][b]J'apprécie que vous vous soyez confiée à moi.[/b][/i] [b]Bernadetta[/b] : Il n'y a que vous pour être si aimable avec moi, Professeur ! Je suis désolée ! Ne me regardez pas, s'il vous plaît ! [b][u]Rang A[/u] (Fleur Vermeille/Lune d'Azur/Vent Emeraude/Neiges Argentées)[/b] [b]Bernadetta[/b] : Je n'arrive pas à croire que je suis partie de chez moi depuis si longtemps. Enfin, qu'on m'a forcée à partir de chez moi depuis si longtemps… Cela fait cinq ans. J'ai un sentiment plutôt étrange ! [b]Byleth[/b] : [i]Comment cela, étrange ?[/i] // [i][b]Voulez-vous retourner chez vous ?[/b][/i] [b]Bernadetta[/b] : En fait, au début, j'aurais tout fait pour rentrer chez moi. Maintenant, c'est tout l'inverse. J'ai des amis, ici. Et vous, aussi. Le monastère est devenu ma deuxième maison. Si on m'avait dit que je finirais par éprouver cela... [b]Byleth[/b] : J'en suis heureux pour vous. [b]Bernadetta[/b] : Merci ! Et c'est grâce à vous ! Vous m'avez redonné goût à la vie. Sans vous, je n'aurais jamais réussi à quitter ma chambre de plein gré, et je ne parle même pas du monastère. Le champ de bataille a peut-être émoussé mes sens. Mais il est vrai que je me débrouille bien mieux avec les inconnus et dans les nouveaux endroits. Je ne panique plus autant qu'avant ! [b]Byleth[/b] : [i]Iriez-vous seule dans un lieu inconnu ?[/i] // [i][b]J'ai justement une tâche pour vous seule...[/b][/i] [b]Bernadetta[/b] : Un endroit inconnu ? Toute seule, sans personne ? Ça me semble difficile. Et pourquoi devrais-je faire ça, tout à coup ? Ah mais attendez un peu… Vous vous moquez de moi, c'est ça ? Ne plaisantez pas comme ça avec moi ! C'est comme me torturer ! [b]Byleth[/b] : [i]Allons, tout va bien se passer.[/i] // [i][b]Hmm... il faut que j'y réfléchisse.[/b][/i] [b]Bernadetta[/b] : [i]Vous ne me prenez pas au sérieux ! Arrêtez de me taquiner ! Et maintenant, promettez-moi de ne pas recommencer ![/i] // [i][b]Professeur, arrêtez, s'il vous plaît ! Vraiment, je vous en conjure ! Promettez-moi de ne pas recommencer ![/b][/i] Un ami se doit de respecter la volonté de l'autre, pas vrai ? [b]Byleth[/b] : D'accord, je vous le promets. [b]Bernadetta[/b] : Bien. J'espère que vous tiendrez parole. Je vous interdis formellement de m'envoyer où que ce soit toute seule, c'est compris ? Vous viendriez avec moi. Avec vous, je pourrais aller au bout du monde. [b]Byleth[/b] : [i]Je vous suivrai de loin.[/i] // [i][b]Je vous accompagnerai en pensée.[/b][/i] [i]Nous pouvons demander à un autre professeur. (Si Manuela et/ou Hanneman sont recrutés et en vie)[/i] [b]Bernadetta[/b] : Mais non, ça ne marcherait pas ! Pourquoi vous ne m'écoutez pas ? Je pensais que nous commencions enfin à nous comprendre... C'est de ma faute, c'est ça ? Cette fois, je vous laisse. Mais vous ne vous en sortirez pas si facilement la prochaine fois ! [b][u]Rang S[/u] (Fleur Vermeille/Lune d'Azur/Vent Emeraude/Neiges Argentées)[/b] [b]Bernadetta[/b] : Ah ! Comment saviez-vous que je serais là ? [b]Byleth[/b] : [i]Je me suis dit que vous deviez vous cacher.[/i] // [i][b]Je vous ai cherchée partout.[/b][/i] [b]Bernadetta[/b] : [i]Vous me connaissez trop bien. C'est exactement ce que je m'apprêtais à faire ![/i] // [i][b]Hein ? Vous vous êtes donné toute cette peine pour moi ? En fait, je me suis refermée, une fois de plus.[/b][/i] Je me suis mise à réfléchir à cette guerre qui se termine, et mes peurs d'autrefois ont ressurgi. J'ai peur de rentrer chez moi... Peur de revoir mes parents… Je ne sais pas quoi faire ! Je vous en supplie, aidez-moi ! [b]Byleth[/b] : Venez avec moi. [b]Bernadetta[/b] : M-Mais où m'emmenez-vous ? Hé, lâchez mon bras ! La tour de la Déesse ? Pourquoi sommes-nous là ? Et voilà. On est tout seuls. C'est l'occasion rêvée. Vous allez me tuer, n'est-ce pas ? [b]Byleth[/b] : Je ne ferais jamais une telle chose. [b]Bernadetta[/b] : C'est bon, je suis prête. Et puis de toute façon, je préfère autant que... Vraiment, vous ne feriez jamais une telle chose ? Ah, oui, je comprends. Je ne mérite même pas d'être tuée, c'est cela ? Je le savais. Bon maintenant, je vais m'enfermer dans ma chambre. [b]Byleth[/b] : Je veux vous donner ceci. [b]Bernadetta[/b] : M-Mais qu'est-ce que c'est ? Une bague ? Eh bien, euh... C'est, euh... Que signifie-t-elle ? Normalement, quand un homme donne une bague à une femme, c'est pour euh... C'est pour ce à quoi je pense ? Ah ! Je... Je ne sais que dire ! J'accepte ! Bien sûr que j'accepte ! Cela veut dire que... Plus personne ne pourra me reprocher de m'enfermer ! Vous pourrez aller faire tous vos trucs de héros pendant que je garderai le fort ! [b]Byleth[/b] : [i]Mais j’ai mon mot à dire, non ?[/i] // [i][b]Il n’en est pas question.[/b][/i] [b]Bernadetta[/b] : [i]Comment ça ? Ne me dites pas que vous voudrez me voir sortir de la maison ! Pff... Bon, d'accord, mais j'aurais une faveur à vous demander.[/i] // [i][b]Oh non ! Allons, je vous en prie ! Vous ne me laisserez donc jamais de répit ? Dans ce cas, j'aurais une faveur à vous demander.[/b][/i] Si j'ai réussi à sortir du monastère, c'est pour une raison. Cette raison, c'est vous. Je n'arriverai pas à surmonter mes angoisses, ou ma peur des gens, pas plus que je ne pourrai cesser de me cacher à la moindre occasion. Alors si vous voulez que je sorte, il faudra que vous veniez avec moi. Quoi que nous fassions, où que nous allions, je veux que nous restions ensemble à jamais. [b]Byleth[/b] : Cela me convient parfaitement.[/justify] [center][img]https://communaute-fireemblem.fr/upload/images/c6c847ef1abe4421360ed662737a63e4b44e95b4.png[/img][/center] [justify][i][b]Si je vous demande ça, c'est parce que… Hein ? Mais vous avez accepté ? C'est génial ! Vous êtes le meilleur ! Je vous aime tant ! Nous allons connaître un bonheur parfait, vous et moi ![/b][/i][/justify] [center][url=https://communaute-fireemblem.fr/fireemblem.php?version=16&sous_categorie=4037]Tous les soutiens de Bernadetta[/url] [url=https://communaute-fireemblem.fr/fireemblem?version=16&sous_categorie=4032]Tous les soutiens de Byleth (H)[/url][/center]