[center][size=18][b][img=100x100]https://communaute-fireemblem.fr/upload/images/07fc6d830f8e249b595e0b811ee3cdd235f109dd.png[/img]Ferdinand - Byleth (F)[/b][/size][img=100x100]https://communaute-fireemblem.fr/upload/images/d4bba3dafd76dc24178fa18eddf2c1a1cfbf1086.png[/img][/center] [b][u]Rang C[/u] (Nuées Blanches - Jusqu’à la bataille intitulée “Le trône du savoir”)[/b] [justify] [b]Ferdinand[/b] : Professeur, puis-je solliciter un court entretien ? [i]Vous semblez tenir Edelgard en haute estime... C'est du moins mon impression.  (Nuées Blanches)[/i] [i][b]Dites-moi, quelle est votre opinion au sujet d'Edelgard ? Vous semblez la tenir en haute estime. (Autres Routes)[/b][/i] [b]Byleth[/b] : [i]C'est une très bonne élève.[/i] // [i][b]Elle a encore des progrès à faire.[/b][/i] [b]Ferdinand[/b] : [i]Hm. Elle ne manque pas de talent. C'est indubitable. Mais je m'interrogeais... Que pensez-vous de moi ? Je ne manque moi-même pas de mérite, je crois.[/i] // [i][b]Oh ! J'avoue que cette réponse me surprend. De toute évidence, vos exigences sont élevées.[/b][/i] Mais alors, que pensez-vous de moi ? Vous me prisez au moins autant qu'elle, n'est-ce pas ? Ne me ménagez pas, Professeur. Parlez en toute sincérité. Tâchez de faire abstraction de la noble maison dont je suis issu. [b]Byleth[/b] : [i]Vous êtes du même niveau.[/i] // [b][i]Eh bien, je regrette, mais…[/i][/b] [b]Ferdinand[/b] : [i]Du même niveau ? Elle et moi ?[/i] // [b][i]Vous estimez qu'elle m'est supérieure ?[/i][/b] Je... Je ne faisais qu'affecter la modestie. Pour être sincère, je me suis toujours flatté de surpasser Edelgard. Mais vous ne semblez guère partager cette opinion. Hmm… Je n'ai donc d'autre choix que de vous convaincre de l'éminence de mes talents ! [b]Byleth[/b] : [i]C'est inutile.[/i] // [i][b]Je ne peux pas vous en empêcher…[/b][/i] [b]Ferdinand[/b] : [i]Inutile ? Mais vous vous fourvoyez totalement quant à mes aptitudes ![/i] // [b][i]Précisément ! Vous ne pouvez pas ! J'entends vous prouver que vous vous fourvoyez totalement quant à mes aptitudes.[/i][/b] Croyez-vous que je laisserais cette tache maculer mon honneur ? Jamais de la vie ! Venez avec moi ! [b]Byleth[/b] : ... [b]Ferdinand[/b] : Commençons par les arts de la guerre. Les aptitudes martiales d'Edelgard ne soutiennent aucunement la comparaison avec les miennes. Il paraît qu'il y a peu, Edelgard aurait estourbi une bête démoniaque sans assistance. Mais quels que soient les faits d'armes d'Edelgard, je puis les surpasser. Et je n'y consacrerai que la moitié du temps qu'il lui aura fallu ! Veuillez témoigner du fait et en mesurer la durée, Professeur. Taïaut ! Deux à la fois ? Hum... Fort bien. Arrgh ! C'en est fait de moi ! Il semble que vous m'avez sauvé la vie. Je... Merci, Professeur. [b][u]Rang B[/u] (Fleur Vermeille/Lune d’Azur/Vent Emeraude - Jusqu’à la bataille intitulée “Le chaos de la guerre”/Neiges Argentées - Jusqu’à la bataille intitulée “Le chaos de la guerre”)[/b] [b]Ferdinand[/b] : Aahh ! Argh ! En garde ! Yaah ! Yaah ! Pff... Pff... [b]Byleth[/b] : [i]Vous vous entraînez plus dur que d'habitude.[/i] // [b][i]Comment allez-vous ?[/i][/b] [b]Ferdinand[/b] : [i]Oui. Il me faut me hâter.[/i] // [i][b]Oh, vous savez... Il y a toujours de la besogne. Je n'en finis pas de m'y consacrer. Ces temps-ci, je suis enclin à l'inquiétude... ainsi qu'à l'impatience.[/b][/i] Edelgard continue d'enchaîner les triomphes. Sans interruption. Il y a cinq années de cela, elle est montée sur le trône, balayant l'ancienne noblesse corrompue... parmi laquelle figurait mon père. J'ai toujours cru que cette tâche me reviendrait. C'est elle, pourtant, qui s'en est acquittée. Comme d'une insignifiante broutille. [i]En tant que chef de la maison Aegir, je me retrouve au service d'Edelgard. Me voilà son sous-fifre, suivant ses ordres dans le dessein d'unifier Fódlan. (Fleur Vermeille)[/i] [i][b]Elle a interdit à mon père de quitter sa demeure. Elle a dépouillé la maison Aegir de son pouvoir. J'ai refusé d'être son pantin et j'ai préféré partir. Je me bats désormais pour renverser l'Empire. (Autres Routes)[/b][/i] Je suis conscient qu'un gouffre béant nous sépare, Edelgard et moi. Elle avance envers et contre tout, sans un doute, sans une distraction. Mais que me reste-t-il, à moi ? Regardez-moi, à gesticuler sans me rendre nulle part, sans être utile à quoi que ce soit... [b]Byleth[/b] : C'est faux. [b]Ferdinand[/b] : Non ! C'est la réalité. Depuis l'Académie des officiers, je n'ai jamais surpassé Edelgard. Pas une seule fois. Je la considérais comme une adversaire de valeur, tandis qu'elle ne voyait pas même en moi un valet. Je n'existais pas à ses yeux. [i][b]Ma position est peut-être un peu plus avantageuse aujourd'hui. Mais je demeure un second couteau. (Si Edelgard et [b]Ferdinand[/b] ont atteint un soutien de rang A)[/b][/i] Je suis à la tête de la noble maison Aegir, il est impératif que j'obtienne des résultats. Mais tous mes efforts se sont avérés vains. Seuls comptent les résultats. Ne pouvant me prévaloir d'aucun, je suis condamné à croupir ici pour l'éternité. [b]Byleth[/b] : [i]Mais vous avez obtenu des résultats ![/i] // [i][b]Peu importe le résultat. Le but, c'est le chemin.[/b][/i] [b]Ferdinand[/b] : [i]Vos propos me vont droit au cœur. Ils ne suffisent pourtant pas à me convaincre.[/i] // [i][b]Vos propos me vont droit au cœur. Ils sont toutefois infondés.[/b][/i] Je sais qu'un mur fort élevé se dresse devant moi, et que je dois le gravir seul.Et pourtant... Oserais-je vous demander une faveur ? [b]Byleth[/b] : Je vous en prie ! [b]Ferdinand[/b] : Professeur, acceptez de garder un œil sur mes progrès. Je vous saurais gré de toujours demeurer à mes côtés, et d'attester de mes succès. [b][u]Rang A[/u] (Fleur Vermeille/Lune d’Azur/Vent Emeraude/Neiges Argentées)[/b] [b]Byleth[/b] : Hm... Voilà une fascinante vision de la vie. [b]Ferdinand[/b] : Ah, vous voilà ! Juste au bon moment ! [b]Byleth[/b] : [i]Vous travaillez tard.[/i] // [i][b]Au bon moment ?[/b][/i] [b]Ferdinand[/b] : [i]Oh... La nuit est déjà tombée ? Mon ouvrage m'aura absorbé, dirait-on…[/i] Il y a un sujet dont je désire vous entretenir. C'est à propos de vous… Il commence à m'apparaître que vous êtes une authentique héroïne. Portant en vous l'emblème perdu, brandissant l'Épée du Créateur, menant la charge contre de redoutables ennemis… Et, de surcroît, vous vous avérez également une éminente stratège. [i]Vous montrez à chacun la voie à suivre, afin que tous sachent ce qui leur incombe. (Neiges Argentées)[/i] [i][b]Fréquentant les souverains, soutenant leurs efforts, leur prodiguant des conseils… (Autres Routes)[/b][/i] Nonobstant que vous ne sembliez guère nourrir d'ambitions, vos accomplissements sont considérables. [b]Byleth[/b] : [i]N'en jetez plus ![/i] // [i][b]En effet, je ne suis pas ambitieuse.[/b][/i] [b]Ferdinand[/b] : [i]Je n'exagère en rien. Je ne fais qu'énoncer la vérité.[/i] // [i][b]Je suis subjugué par la facilité avec laquelle vous en convenez.[/b][/i] Voyez-vous, j'ai étudié l'histoire de Faerghus. Le fondateur du Royaume, Loog, dit « Le Lion », avait deux conseillers. L'un d'entre eux se nommait Pan, le « Stratège dépourvu d'orgueil ». Les chroniques relatent que Pan ne désirait rien pour lui. Il avait voué sa vie à Loog. En dépit de sa puissance héroïque, il ne semblait nullement soucieux de sa postérité. De sorte qu'il ne subsiste guère de trace des actes de Pan dans les anciennes chroniques. Nous savons seulement qu'il vint en aide à Loog, son chef et son ami. [b]Byleth[/b] : [i]J'ignorais qu'il existait des êtres de si grande vertu.[/i] // [b][i]Je n'ai jamais entendu parler de ce Pan.[/i][/b] [b]Ferdinand[/b] : Il n'est guère étonnant que vous ne le connaissiez pas. Moi-même, je n'avais jamais ouï son nom. Mais... en observant votre comportement, il me semble assister aux prouesses oubliées de Pan. Ce n'est rien qu'une idée... Mais elle m'emplit de joie. Ainsi, même si elle ne trouve nulle place dans les anciens grimoires, une vie peut être pleine d'accomplissements ! [i]Je ne saurais l'emporter sur Edelgard, je le sais bien. Elle triomphera toujours de moi. (Fleur Vermeille)[/i] [i][b]Je ne saurais surpasser Edelgard, je le sais bien. Et ce, même si je la vaincs sur le champ de bataille. (Autres Routes)[/b][/i] Je suis tel que je suis. Ainsi que vous, ainsi que ce stratège dépourvu d'orgueil… Je suivrai la voie qui est la mienne, même si nulle trace n'en doit demeurer dans les livres d'histoire. [b][u]Rang S[/u] (Fleur Vermeille/Lune d’Azur/Vent Emeraude/Neiges Argentées)[/b] [b]Ferdinand[/b] : Notre route aura été longue et périlleuse, n'est-ce pas ? [b]Byleth[/b] : [i]Pas vraiment.[/i] // [i][b]En effet.[/b][/i] [b]Ferdinand[/b] : [i]Pff ! Vous ne pouvez donc me gratifier de la moindre satisfaction ? Peut-être pouvons-nous du moins convenir que même les routes les plus longues ont un terme.[/i] // [i][b]Même les routes les plus longues ont un terme.[/b][/i] Alors, les amis qui l'ont arpentée de concert prennent congé l'un de l'autre. [i]Vous guiderez Fódlan, tandis que je reprendrai mes fonctions légitimes de duc Aegir. (Fleur Vermeille)[/i] [i][b]Vous guiderez Fódlan, tandis que j'entrerai en fonction en tant que duc Aegir. (Autres Routes)[/b][/i] La vie doit continuer. [b]Byleth[/b] : Il semble, en effet. [b]Ferdinand[/b] : Cependant, je vous ai naguère présenté une doléance. Que vous attestiez de mes hauts faits. Et même si je n'accomplis nulle prouesse, que je ne laisse nulle trace… J'aimerais au moins exister à vos yeux. [b]Byleth[/b] : Qu'entendez-vous par là ? [b]Ferdinand[/b] : J'entends que je veux vous prendre pour épouse ! J'ai besoin de vous comme de l'air que je respire. Plus encore, s'il se peut. Et... je nourris l'espoir que vous avez besoin de moi, vous aussi. [b]Byleth[/b] : Je comprends. [b]Ferdinand[/b] : Est-ce là tout... ? Le noble Ferdinand d'Aegir vous déclare sa flamme, et vous ne daignez répondre que « Je comprends » ? Vous me mettez à la torture ! Si vous escomptez me rejeter, épargnez-moi du moins les tergiversations ! [b]Byleth[/b] : Je ne dirais pas que j'ai « besoin » de vous... [b]Ferdinand[/b] : Je ne comprends pas... [b]Byleth[/b] : Je désire être à vos côtés. [b]Ferdinand[/b] : Vous désirez... ? Ainsi, vous dites... [b]Byleth[/b] : Marions-nous ! [b]Ferdinand[/b] : V-Vraiment ? Ah, la félicité résonne à mes oreilles ainsi qu'un joyeux carillon ! L'extase qui m'envahit surpasse celle d'un triomphe au combat... C'est le triomphe de la vie elle-même ! [b]Byleth[/b] : ... [b]Ferdinand[/b] : Pardonnez-moi... Je m'emporte. Je tremble comme une feuille... C'est plus fort que moi. Je peux dire sans emphase aucune que toute ma vie ainsi que toutes mes actions ont mené à cet instant… Je suis extatique ! Oh... mes jambes me soutiennent à peine... [b]Byleth[/b] : [i]La joie m'envahit moi aussi ![/i] // [i][b]Effectivement, on jurerait que vous allez tomber.[/b][/i] [b]Ferdinand[/b] : [i]Ménagez-moi quelques instants pour retrouver mon équilibre avant de trop exprimer votre bonheur…[/i] // [i][b]Qui ça, moi ? Aucunement ! Je me sens déjà mieux, je vous l'assure.[/b][/i] Vous et moi réunis, arpentant ensemble le chemin de la vie... Le monde entier semble se parer de rose… Ah... ça ne va pas... Je défaille. S'il vous plaît, permettez-moi de m'appuyer sur votre épaule.[/justify] [center][img]https://communaute-fireemblem.fr/upload/images/2f4119b0d4d3f24f2c8bcec1d13e4042745e6241.png[/img]     [img]https://communaute-fireemblem.fr/upload/images/ce4dfdf23f8022c2e6bde3de6f25871402c9f141.png[/img][/center] [justify][i][b]C'est beaucoup mieux. Nous voilà proches, si proches… À partir d'aujourd'hui, nous pourrons toujours nous reposer l'un sur l'autre. Merci, mon amour.[/b][/i][/justify] [center][url=https://communaute-fireemblem.fr/fireemblem.php?version=16&sous_categorie=4047]Tous les soutiens de Ferdinand[/url] [url=https://communaute-fireemblem.fr/fireemblem?version=16&sous_categorie=4033]Tous les soutiens de Byleth (F)[/url][/center]