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/ Felix - Sylvain
[center][img=100x100]https://communaute-fireemblem.fr/upload/images/e9cd61ce81b0563e59bc2905de4021a2979b3d1f.png[/img][size=18][b]Felix - Sylvain[/b][/size][img=100x100]https://communaute-fireemblem.fr/upload/images/5419e3d9a04444a151102dd95fd07ca3d60d42ab.png[/img] [/center] [b][u]Rang C[/u][/b] [justify] [b]Sylvain[/b] : Qu'est-ce qui t'a pris, de te mêler à une rixe entre soldats ?! [b]Felix[/b] : ... [b]Sylvain[/b] : Tu n'es plus un gamin, pour te jeter comme ça dans une bagarre sans réfléchir. Si tu continues comme ça, tu entraîneras avec toi dans la boue la réputation de la maison Fraldarius. Sans parler des conséquences fâcheuses pour la réputation de Sa Majesté, puisque c'est elle qui t'a fait duc. [b]Felix[/b] : Je sais très bien tout ça. [b]Sylvain[/b] : Vraiment ? Parce que tu n'as pas l'air de quelqu'un qui regarde enfin les choses avec lucidité. [b]Felix[/b] : Comme tu parles. Je préférais quand c'était à toi qu'on faisait des reproches. [b]Sylvain[/b] : Tu plaisantes ? C'était toujours toi qui étais réprimandé quand nous étions enfants. [b]Felix[/b] : Seulement parce que tu étais un imbécile qui m'entraînait sans arrêt dans ses plans insensés. [b]Sylvain[/b] : Vraiment ? Peu importe. Mais dis-moi, qu'est-ce qui t'a fait sortir les poings, cette fois ? [b]Felix[/b] : Rien de précis. Une fois impliqué, je ne pouvais simplement plus reculer. [b]Sylvain[/b] : Tu devrais vraiment être plus prudent. Regarde, tu as même un bleu. Qui sait ce qu'il adviendrait de Faerghus si jamais nous te perdions. [b]Felix[/b] : Je ne dis pas que tu t'en sortirais très bien sans moi, mais tu dois savoir que je pourrais mourir au combat à tout moment, non ? [b]Sylvain[/b] : Surveille tes paroles, Felix. Et réfléchis un instant. Qu'adviendrait-il de Faerghus et de Sa Majesté si jamais tu mourais ? Dimitri a déjà suffisamment de problèmes, et il insiste pourtant pour tout faire lui-même. La guerre avec l'Empire, les batailles hors de Fódlan, l'administration du Royaume, la réforme de la structure sociale de tout le système… S'il ne t'avait pas à ses côtés, il tomberait raide de fatigue. [b]Felix[/b] : Tu parles comme si tu n'avais pas ton rôle à jouer là-dedans. Nous sommes dans le même bateau. Un de ces jours, tu hériteras du titre de margrave Gautier. Y es-tu préparé ? [b]Sylvain[/b] : Je sais, je sais. Fais-moi confiance, j'en suis très conscient. C'est pourquoi j'agis toujours avec la plus grande intégrité ! [b]Felix[/b] : Tu es l'exact opposé de l'intégrité. Même si je dois avouer que tu tentes de te défaire de tes vieilles habitudes, dernièrement. [b]Sylvain[/b] : Tu sais, de temps en temps, une petite tape sur l'épaule pour m'encourager, ça ne te tuerait pas.. [b]Felix[/b] : Tu es comme un bébé qui vient d'apprendre à marcher. Une petite tape sur l'épaule et tu finirais par terre. Tu peux tenter de te racheter comme tu veux, mais ce genre de choses ne s'oublie pas facilement. Le plus tôt tu le réaliseras, le mieux ce sera. [b]Sylvain[/b] : Ta langue est toujours aussi affûtée, je vois. Ne change jamais, Felix. [b]Felix[/b] : J'avoue que j'ai été un peu dur, cette fois, même si je n'aime pas l'admettre. Alors je peux bien t'accorder ça. [u][b]Rang A[/b][/u] [b]Sylvain[/b] : Te voilà, Felix ! Pourquoi ne m'avoir rien dit ? [b]Felix[/b] : À propos de ? [b]Sylvain[/b] : De la bagarre avec ces soldats, l'autre jour. [b]Felix[/b] : Oh, ça ? Ne t'inquiète pas, ça ne se reproduira plus. [b]Sylvain[/b] : L'un de mes hommes m'a rapporté toute l'histoire. Apparemment, un de tes soldats se moquait de l'héritier de la maison Gautier... c'est-à-dire moi. Puis il a continué avec tous les soldats autour de lui, et c'est là que tu es intervenu. [b]Felix[/b] : La pire décision de ma vie. Mais comme je l'ai dit, cela n'arrivera plus. Je me suis mêlé de ça seulement parce que je pensais qu'il était de ma responsabilité d'ouvrir les yeux à mes hommes. Mais mes poings ont tendance à réagir plus vite que ma cervelle, comme tu le sais. [b]Sylvain[/b] : Je le sais bien, oui. Je suis cependant curieux de savoir pourquoi tu ne m'as pas tout rapporté immédiatement. [b]Felix[/b] : Parce qu'il a dit des choses vraiment dégradantes sur toi, et je ne voulais pas froisser tes oreilles délicates avec ça. [b]Sylvain[/b] : Je vois. Cela me rend d'autant plus curieux. Quoi qu'il en soit, désolé de t'être tombé dessus sans connaître toute l'histoire. [b]Felix[/b] : Non, c'est moi qui devrais m'excuser. Je ne peux pas laisser ma vie personnelle influencer mon travail, même si cela te concerne. [b]Sylvain[/b] : Tu ne devrais pas t'inquiéter autant pour moi. Les insultes à mon encontre sont monnaie courante. Et pour être honnête, je les mérite toutes. J'étais un véritable vaurien quand j'étais jeune, j'ai causé des soucis à bien du monde. Ce genre de propos n'est pas de ta faute, ou même de la faute des soldats. La faute revient à l'homme que j'étais autrefois. [b]Felix[/b] : Alors pourquoi n'avoir rien fait à propos de cet homme, quand tu étais jeune ? [b]Sylvain[/b] : C'était juste... Je devais être comme ça, tu vois ? Je devais jouer ce rôle du brigand insouciant et désinvolte parce que… Quoi qu'il en soit, je sais que je ne suis pas facile à vivre, mais ça fait partie de moi. [b]Felix[/b] : D'accord. Peut-être mérites-tu les quolibets. Mais j'ai encore du mal à avaler qu'ils viennent d'un tas de corniauds qui ne savent rien de toi. Tu n'as pas encore le titre de margrave, mais tu sais déjà te rendre utile. Je vois la façon dont tu as aidé le phacochère, et la façon dont tu m'aides, moi aussi. [b]Sylvain[/b] : Oh, Felix. Ce que tu me dis, c'est... Bon sang. Quelqu'un coupe des oignons, ici ? [b]Felix[/b] : Chut ! Tu ne peux pas écouter quelqu'un deux secondes sans l'ouvrir pour tout gâcher ? Tu as toujours été trop malin et trop bavard, c'est ce qui te perdra, même si personne ne te surpasse en tactiques militaires ou en politique intérieure. Comme tu l'as dit, les problèmes s'accumulent à la fois à l'intérieur et à l'extérieur du Royaume. Mais avec toi à mes côtés, nous arriverons peut-être bien à nous en sortir. [b]Sylvain[/b] : Cela fait beaucoup de problèmes sur le dos d'une seule personne. Surtout si elle n'est qu'à moitié aussi douée que tu le laisses entendre. Je veux dire, bon, je suis peut-être sept pour cent plus rusé que toi ? Mais c'est tout. Si nous voulons être utiles à Faerghus et Dimitri, nous devons travailler ensemble pour compenser l'un l'autre nos faiblesses. [b]Felix[/b] : Je suppose que tu as raison. Auquel cas, je compte sur toi. J'ai peut-être même... besoin de toi. Peut-être. En plus, je finirais coincé avec des personnes misérablement austères si tu n'étais pas là, et je ne sais pas si je pourrais le supporter. [b]Sylvain[/b] : Tu n'as pas besoin de me le dire deux fois, mon vieil ami. Je serai toujours là pour toi, je te le promets.[/justify] [center][url=https://communaute-fireemblem.fr/fireemblem?version=54&sous_categorie=5445]Tous les soutiens de Felix[/url] [url=https://communaute-fireemblem.fr/fireemblem?version=54&sous_categorie=5469]Tous les soutiens de Sylvain[/url][/center]
Par
Soren57
Titre :
[center][img=100x100]https://communaute-fireemblem.fr/upload/images/e9cd61ce81b0563e59bc2905de4021a2979b3d1f.png[/img][size=18][b]Felix - Sylvain[/b][/size][img=100x100]https://communaute-fireemblem.fr/upload/images/5419e3d9a04444a151102dd95fd07ca3d60d42ab.png[/img] [/center] [b][u]Rang C[/u][/b] [justify] [b]Sylvain[/b] : Qu'est-ce qui t'a pris, de te mêler à une rixe entre soldats ?! [b]Felix[/b] : ... [b]Sylvain[/b] : Tu n'es plus un gamin, pour te jeter comme ça dans une bagarre sans réfléchir. Si tu continues comme ça, tu entraîneras avec toi dans la boue la réputation de la maison Fraldarius. Sans parler des conséquences fâcheuses pour la réputation de Sa Majesté, puisque c'est elle qui t'a fait duc. [b]Felix[/b] : Je sais très bien tout ça. [b]Sylvain[/b] : Vraiment ? Parce que tu n'as pas l'air de quelqu'un qui regarde enfin les choses avec lucidité. [b]Felix[/b] : Comme tu parles. Je préférais quand c'était à toi qu'on faisait des reproches. [b]Sylvain[/b] : Tu plaisantes ? C'était toujours toi qui étais réprimandé quand nous étions enfants. [b]Felix[/b] : Seulement parce que tu étais un imbécile qui m'entraînait sans arrêt dans ses plans insensés. [b]Sylvain[/b] : Vraiment ? Peu importe. Mais dis-moi, qu'est-ce qui t'a fait sortir les poings, cette fois ? [b]Felix[/b] : Rien de précis. Une fois impliqué, je ne pouvais simplement plus reculer. [b]Sylvain[/b] : Tu devrais vraiment être plus prudent. Regarde, tu as même un bleu. Qui sait ce qu'il adviendrait de Faerghus si jamais nous te perdions. [b]Felix[/b] : Je ne dis pas que tu t'en sortirais très bien sans moi, mais tu dois savoir que je pourrais mourir au combat à tout moment, non ? [b]Sylvain[/b] : Surveille tes paroles, Felix. Et réfléchis un instant. Qu'adviendrait-il de Faerghus et de Sa Majesté si jamais tu mourais ? Dimitri a déjà suffisamment de problèmes, et il insiste pourtant pour tout faire lui-même. La guerre avec l'Empire, les batailles hors de Fódlan, l'administration du Royaume, la réforme de la structure sociale de tout le système… S'il ne t'avait pas à ses côtés, il tomberait raide de fatigue. [b]Felix[/b] : Tu parles comme si tu n'avais pas ton rôle à jouer là-dedans. Nous sommes dans le même bateau. Un de ces jours, tu hériteras du titre de margrave Gautier. Y es-tu préparé ? [b]Sylvain[/b] : Je sais, je sais. Fais-moi confiance, j'en suis très conscient. C'est pourquoi j'agis toujours avec la plus grande intégrité ! [b]Felix[/b] : Tu es l'exact opposé de l'intégrité. Même si je dois avouer que tu tentes de te défaire de tes vieilles habitudes, dernièrement. [b]Sylvain[/b] : Tu sais, de temps en temps, une petite tape sur l'épaule pour m'encourager, ça ne te tuerait pas.. [b]Felix[/b] : Tu es comme un bébé qui vient d'apprendre à marcher. Une petite tape sur l'épaule et tu finirais par terre. Tu peux tenter de te racheter comme tu veux, mais ce genre de choses ne s'oublie pas facilement. Le plus tôt tu le réaliseras, le mieux ce sera. [b]Sylvain[/b] : Ta langue est toujours aussi affûtée, je vois. Ne change jamais, Felix. [b]Felix[/b] : J'avoue que j'ai été un peu dur, cette fois, même si je n'aime pas l'admettre. Alors je peux bien t'accorder ça. [u][b]Rang A[/b][/u] [b]Sylvain[/b] : Te voilà, Felix ! Pourquoi ne m'avoir rien dit ? [b]Felix[/b] : À propos de ? [b]Sylvain[/b] : De la bagarre avec ces soldats, l'autre jour. [b]Felix[/b] : Oh, ça ? Ne t'inquiète pas, ça ne se reproduira plus. [b]Sylvain[/b] : L'un de mes hommes m'a rapporté toute l'histoire. Apparemment, un de tes soldats se moquait de l'héritier de la maison Gautier... c'est-à-dire moi. Puis il a continué avec tous les soldats autour de lui, et c'est là que tu es intervenu. [b]Felix[/b] : La pire décision de ma vie. Mais comme je l'ai dit, cela n'arrivera plus. Je me suis mêlé de ça seulement parce que je pensais qu'il était de ma responsabilité d'ouvrir les yeux à mes hommes. Mais mes poings ont tendance à réagir plus vite que ma cervelle, comme tu le sais. [b]Sylvain[/b] : Je le sais bien, oui. Je suis cependant curieux de savoir pourquoi tu ne m'as pas tout rapporté immédiatement. [b]Felix[/b] : Parce qu'il a dit des choses vraiment dégradantes sur toi, et je ne voulais pas froisser tes oreilles délicates avec ça. [b]Sylvain[/b] : Je vois. Cela me rend d'autant plus curieux. Quoi qu'il en soit, désolé de t'être tombé dessus sans connaître toute l'histoire. [b]Felix[/b] : Non, c'est moi qui devrais m'excuser. Je ne peux pas laisser ma vie personnelle influencer mon travail, même si cela te concerne. [b]Sylvain[/b] : Tu ne devrais pas t'inquiéter autant pour moi. Les insultes à mon encontre sont monnaie courante. Et pour être honnête, je les mérite toutes. J'étais un véritable vaurien quand j'étais jeune, j'ai causé des soucis à bien du monde. Ce genre de propos n'est pas de ta faute, ou même de la faute des soldats. La faute revient à l'homme que j'étais autrefois. [b]Felix[/b] : Alors pourquoi n'avoir rien fait à propos de cet homme, quand tu étais jeune ? [b]Sylvain[/b] : C'était juste... Je devais être comme ça, tu vois ? Je devais jouer ce rôle du brigand insouciant et désinvolte parce que… Quoi qu'il en soit, je sais que je ne suis pas facile à vivre, mais ça fait partie de moi. [b]Felix[/b] : D'accord. Peut-être mérites-tu les quolibets. Mais j'ai encore du mal à avaler qu'ils viennent d'un tas de corniauds qui ne savent rien de toi. Tu n'as pas encore le titre de margrave, mais tu sais déjà te rendre utile. Je vois la façon dont tu as aidé le phacochère, et la façon dont tu m'aides, moi aussi. [b]Sylvain[/b] : Oh, Felix. Ce que tu me dis, c'est... Bon sang. Quelqu'un coupe des oignons, ici ? [b]Felix[/b] : Chut ! Tu ne peux pas écouter quelqu'un deux secondes sans l'ouvrir pour tout gâcher ? Tu as toujours été trop malin et trop bavard, c'est ce qui te perdra, même si personne ne te surpasse en tactiques militaires ou en politique intérieure. Comme tu l'as dit, les problèmes s'accumulent à la fois à l'intérieur et à l'extérieur du Royaume. Mais avec toi à mes côtés, nous arriverons peut-être bien à nous en sortir. [b]Sylvain[/b] : Cela fait beaucoup de problèmes sur le dos d'une seule personne. Surtout si elle n'est qu'à moitié aussi douée que tu le laisses entendre. Je veux dire, bon, je suis peut-être sept pour cent plus rusé que toi ? Mais c'est tout. Si nous voulons être utiles à Faerghus et Dimitri, nous devons travailler ensemble pour compenser l'un l'autre nos faiblesses. [b]Felix[/b] : Je suppose que tu as raison. Auquel cas, je compte sur toi. J'ai peut-être même... besoin de toi. Peut-être. En plus, je finirais coincé avec des personnes misérablement austères si tu n'étais pas là, et je ne sais pas si je pourrais le supporter. [b]Sylvain[/b] : Tu n'as pas besoin de me le dire deux fois, mon vieil ami. Je serai toujours là pour toi, je te le promets.[/justify] [center][url=https://communaute-fireemblem.fr/fireemblem?version=54&sous_categorie=5445]Tous les soutiens de Felix[/url] [url=https://communaute-fireemblem.fr/fireemblem?version=54&sous_categorie=5469]Tous les soutiens de Sylvain[/url][/center]
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