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/ Cordelia - Frederick
[align=centre][img]https://communaute-fireemblem.fr/upload/images/12714a32df8beefaee8058adfd6b7779185c7e05.png[/img][b][size=18]Cordelia - Frederick[/size][img]https://communaute-fireemblem.fr/upload/images/1d8e417dacfeb885e64aad69fa516cc42b15e565.png[/img][/b][/align] [b][u]Rang C[/u][/b] [align=justifie] Cordelia : Les provisions ont été déchargées. Tout est fin prêt. Frederick : Excellent travail, merci. Je voulais également vous demander... Cordelia : De vérifier l'usure des armes et d'examiner les parchemins ? C'est fait. J'avais toutefois quelques questions au sujet de la disposition du camp. Frederick : ... Cordelia : Frederick ? Frederick : Je me disais que vous aviez si peu changé depuis notre première rencontre en Ylisse. Au temps où vous serviez chez les chevaliers pégases de la Garde Royale... Votre dévouement sans égal, votre assiduité à la tâche... Phila me révéla jadis que sans vous, elle eût été dépassée par les événements. Je suis convaincu qu'elle avait l'intention de vous nommer à sa succession. Cordelia : Phila a dit ça ? Frederick : Je l'ai toujours enviée. Il me tardait aussi d'avoir un successeur de votre prestance. Cordelia : N'exagérons rien, Frederick ! Tu vas trop loin ! Si on nous écoutait, ce genre d'éloges pourrait prêter à confusion... Frederick : Prêter à confusion ? Ah, oui, je comprends. Mes excuses, Mademoiselle. Je crains qu'il me manque un peu de perspicacité pour ce genre de choses... Cordelia : Peut-être bien... Parfois, on dirait que les hommes ne cherchent qu'à me courtiser. Frederick : Certes ! Les histoires pittoresques qui ont jalonné votre existence ne manquent pas ! Cordelia : Les... histoires ? Quelles histoires ? Frederick ! Quelles histoires ? [b][u]Rang B[/u][/b] Frederick : Puis-je vous parler un instant, Mademoiselle ? Cordelia : Ah, c'est toi, Frederick. Bien sûr, mais... que se passe-t-il ? Tu m'as l'air nerveux... Tu souhaites comprendre comment marche le cœur d'une femme, pas vrai ? Aha ! Tu es venu pour me demander un conseil amoureux ! J'ai raison ? Frederick : Je... Mademoiselle, n'allez pas croire... Mes intentions sont pures comme le cristal ! J'espérais que vous montreriez votre maîtrise à la lance aux nouvelles recrues. Cordelia : Pourquoi pas. Mais à quoi bon ? Une nouvelle recrue n'a aucune chance de pouvoir manier la lance comme moi. Frederick : Non, mais j'aimerais qu'ils observent votre dextérité légendaire de visu. Ils comprendront qu'elle n'est pas due à la chance, mais à l'entraînement. Cordelia : À la chance ? Mais comment pourraient-ils même l'envisager ? Frederick : Eh bien, comment trouver les mots justes... Aux yeux de soldats ordinaires comme ces recrues et moi-même... … votre génie militaire vous situe sur un échelon inatteignable. Si bien qu'il nous est particulièrement ardu de saisir toute l'étendue de votre talent. Cordelia : Tu ne serais pas en train de forcer un peu le trait... ? Frederick : Je suis parfaitement sincère. Votre talent ne vous rend certainement pas la vie facile. Il doit être frustrant pour vous de ne point être comprise ni valorisée. Il est donc nécessaire que les recrues comprennent cela dans notre intérêt à tous. Cordelia : … Frederick : Cette requête est loin d'être anodine, et vous avez parfaitement le droit de refuser. Cordelia : Non, ça ira. J'accepte. En fait, je suis honorée que tu me demandes cela ! Frederick : En vérité ? Cordelia : Oui, je me suis toujours sentie exclue. Comme si j'appartenais à un autre monde. Quand je m'ouvre aux autres, personne ne me prend au sérieux. On me répond qu'il n'y a aucune raison de se plaindre d'être « un génie ». Tu es le premier à comprendre que la vie n'est pas facile pour moi. Frederick : Eh bien, je suis ravi de vous égayer de la sorte ! Cordelia : Bien, une bonne chose de réglée. Et si tu me parlais de tes histoires d'amour ? Frederick : Ahem. Pourrions-nous remettre cela à plus tard ? À bien plus tard... ? [b][u]Rang A[/u][/b] Cordelia : Frederick ! Frederick : Vous semblez radieuse ! Avez-vous quelque motif à vous réjouir ainsi. Mademoiselle ? Cordelia : Pas encore, mais ça ne saurait tarder. Frederick : Vraiment ? Ravi de l'apprendre. Cordelia : Tu es toujours prêt à m'aider, n'est-ce-pas ? J'ai une faveur à te demander... Frederick : Si je suis en mesure de me rendre utile, avec plaisir. Cordelia : Parfait ! Dans ce cas, enfile tes bottes ! Nous sortons. Frederick : Nous sortons ? Est-ce notre tour de faire les prévisions ? Cordelia : Non, nous ne partons pas nous ravitailler. Ça va être bien plus intéressant que ça ! Frederick : Je pressens comme une menace voilée. Une vive appréhension me parcourt le corps. (L'ai-je insultée à mon insu lors de notre dernière rencontre ?) (Sa colère serait telle qu'elle veut me faire payer l'affront qu'elle a subi ?) (Diable ! Elle va probablement m'attirer dans un bois retiré pour me poignarder !) Cordelia : Qu'est-ce que tu marmonnes ? J'aimerais que tu me parles de ta vie affective. Tu aimerais soulager ton cœur, mais tu as peur de faire le premier pas, n'est-ce-pas ? Nous nous retirerons donc dans un lieu calme et paisible pour régler cette affaire. Frederick : Euh, comment cela ? Cordelia : J'ai déjà trouvé le lieu qui convient pour ne pas être importunés. J'ai même préparé des gâteaux ! Mmm... Frederick : Cordelia, malgré toute votre préparation, vous avez commis une erreur fatale... Vous n'avez point envisagé que je refuse votre invitation ! Cordelia : Oh si, j'ai tout prévu. Si tu refuses, il me faudra manger tous mes gâteaux. Je me suis donc limitée à mes gâteaux favoris : myrtilles, miel, amandes et prunes. Frederick : Je vois... Force est de reconnaître que vous n'avez dans ce cas commis aucune erreur. Il ne me reste donc plus qu'à affronter le destin et à vous faire cette confidence. Mais à une condition : j'attends de vous que vous me parliez en premier de votre vie affective. Cordelia : C'est d'accord. Tiens-toi prêt, Frederick. J'ai beaucoup de choses à te raconter ! [b][u]Rang S[/u][/b] Cordelia : Frederick ! Quand allons-nous enfin discuter de ta vie amoureuse ? Frederick : Nous avons déjà abordé le sujet, il me semble... Cordelia : Nous y avons consacré toute une après-midi mais tu n'as pas pipé mot ! Frederick : J'étais peut-être noyé sous le flot incessant de vos propres paroles... Cordelia : Qu'est-ce que tu insinues ?! Que je parle sans m'arrêter ? Frederick : Avez-vous ne serait-ce qu'un vague souvenir de notre « conversation » ? Vous avez parlé deux longues heures de votre amour non partagé pour Chrom... Entre pleurs et étranglements, vous répétiez « Pourquoi, Frederick ? » Vous avez ensuite dévoré vos gâteaux et pris la fuite avec votre panier. Cordelia : Euh... Merci de m'avoir rappelé cet... incident... Mais je te promets que notre prochaine discussion sera bien moins embarrassante ! Cette fois, nous ne parlerons que de toi. J'écouterai attentivement ce que tu as à me dire. Je te serai entièrement dévouée l'espace d'une journée pour me faire pardonner ! Frederick : J'ai votre parole d'honneur ? Cordelia : Absolument ! Frederick : En ce cas, je puis commencer mon histoire sans attendre. Cordelia : Parfait ! Frederick : Hem... C'est donc l'heure des confessions... Il ne s'agit point de me dérober... Bien, la vérité est que... Je voudrais vous dire simplement que... Je vous aime. Cordelia : Quoi ? C'est une plaisanterie ? Si c'est le cas, c'est de mauvais goût ! Les autres sont cachés derrière cet arbre, n'est-ce-pas ? Frederick : Je suis parfaitement sérieux, Mademoiselle. Cordelia : Mais je croyais que... Quand je te disais de me parler de tes histoires d'amour... J'étais loin de m'imaginer qu'elles me concernaient personnellement... Frederick : Je le sais bien. Je sais aussi que vous aimez Chrom. Malgré cela, je ne pers pas espoir. Mon but n'est pas de parler en mal de lui, puisque je suis à son service. Mais moi, Cordelia, je ne vous tirerais pas des larmes amères comme il le fait lui. Moi, je vouerais mon existence à vous rendre heureuse. Cordelia : Frederick... Quand tu parles de cette façon, je sais que tu dis la vérité. Car c'est bien ce que je ressens à longueur de journée. Même si c'est à l'égard de Chrom que je ressens toutes ces choses... Frederick : De la même façon que vous aimez éperdument Chrom... … mon amour pour vous me brûle la poitrine. J'en veux pour preuve ceci. Cordelia : Une bague de fiançailles ? Frederick : Peu importe si votre cœur ne m'appartient pas. Il me reste l'espoir qu'un jour vous finirez par éprouver de l'amour à mon égard. Voulez-vous être ma femme, Cordelia ? Cordelia : Oh, Frederick, c'est... Oui, j'accepte ! Frederick : Vous acceptez ? Cordelia : Chrom ne m'aimera jamais. Quelque part, je l'ai toujours su. Et je suis fatiguée de cet amour non réciproque. Rien qu'à y renoncer, je me sens plus légère, tout d'un coup. Merci, Frederick. Merci de m'avoir montré la réalité en face ! Si je promets de n'aimer que toi, feras-tu de moi la plus heureuse des femmes ? Frederick : Je le jure.[/align] [align=centre][url=https://communaute-fireemblem.fr/fireemblem.php?version=13&sous_categorie=841]Tous les soutiens de Cordelia[/url][/align] [align=centre][url=https://communaute-fireemblem.fr/fireemblem.php?version=13&sous_categorie=973]Tous les soutiens de Frederick[/url][/align]
Par
jbm
Titre :
[align=centre][img]https://communaute-fireemblem.fr/upload/images/12714a32df8beefaee8058adfd6b7779185c7e05.png[/img][b][size=18]Cordelia - Frederick[/size][img]https://communaute-fireemblem.fr/upload/images/1d8e417dacfeb885e64aad69fa516cc42b15e565.png[/img][/b][/align] [b][u]Rang C[/u][/b] [align=justifie] Cordelia : Les provisions ont été déchargées. Tout est fin prêt. Frederick : Excellent travail, merci. Je voulais également vous demander... Cordelia : De vérifier l'usure des armes et d'examiner les parchemins ? C'est fait. J'avais toutefois quelques questions au sujet de la disposition du camp. Frederick : ... Cordelia : Frederick ? Frederick : Je me disais que vous aviez si peu changé depuis notre première rencontre en Ylisse. Au temps où vous serviez chez les chevaliers pégases de la Garde Royale... Votre dévouement sans égal, votre assiduité à la tâche... Phila me révéla jadis que sans vous, elle eût été dépassée par les événements. Je suis convaincu qu'elle avait l'intention de vous nommer à sa succession. Cordelia : Phila a dit ça ? Frederick : Je l'ai toujours enviée. Il me tardait aussi d'avoir un successeur de votre prestance. Cordelia : N'exagérons rien, Frederick ! Tu vas trop loin ! Si on nous écoutait, ce genre d'éloges pourrait prêter à confusion... Frederick : Prêter à confusion ? Ah, oui, je comprends. Mes excuses, Mademoiselle. Je crains qu'il me manque un peu de perspicacité pour ce genre de choses... Cordelia : Peut-être bien... Parfois, on dirait que les hommes ne cherchent qu'à me courtiser. Frederick : Certes ! Les histoires pittoresques qui ont jalonné votre existence ne manquent pas ! Cordelia : Les... histoires ? Quelles histoires ? Frederick ! Quelles histoires ? [b][u]Rang B[/u][/b] Frederick : Puis-je vous parler un instant, Mademoiselle ? Cordelia : Ah, c'est toi, Frederick. Bien sûr, mais... que se passe-t-il ? Tu m'as l'air nerveux... Tu souhaites comprendre comment marche le cœur d'une femme, pas vrai ? Aha ! Tu es venu pour me demander un conseil amoureux ! J'ai raison ? Frederick : Je... Mademoiselle, n'allez pas croire... Mes intentions sont pures comme le cristal ! J'espérais que vous montreriez votre maîtrise à la lance aux nouvelles recrues. Cordelia : Pourquoi pas. Mais à quoi bon ? Une nouvelle recrue n'a aucune chance de pouvoir manier la lance comme moi. Frederick : Non, mais j'aimerais qu'ils observent votre dextérité légendaire de visu. Ils comprendront qu'elle n'est pas due à la chance, mais à l'entraînement. Cordelia : À la chance ? Mais comment pourraient-ils même l'envisager ? Frederick : Eh bien, comment trouver les mots justes... Aux yeux de soldats ordinaires comme ces recrues et moi-même... … votre génie militaire vous situe sur un échelon inatteignable. Si bien qu'il nous est particulièrement ardu de saisir toute l'étendue de votre talent. Cordelia : Tu ne serais pas en train de forcer un peu le trait... ? Frederick : Je suis parfaitement sincère. Votre talent ne vous rend certainement pas la vie facile. Il doit être frustrant pour vous de ne point être comprise ni valorisée. Il est donc nécessaire que les recrues comprennent cela dans notre intérêt à tous. Cordelia : … Frederick : Cette requête est loin d'être anodine, et vous avez parfaitement le droit de refuser. Cordelia : Non, ça ira. J'accepte. En fait, je suis honorée que tu me demandes cela ! Frederick : En vérité ? Cordelia : Oui, je me suis toujours sentie exclue. Comme si j'appartenais à un autre monde. Quand je m'ouvre aux autres, personne ne me prend au sérieux. On me répond qu'il n'y a aucune raison de se plaindre d'être « un génie ». Tu es le premier à comprendre que la vie n'est pas facile pour moi. Frederick : Eh bien, je suis ravi de vous égayer de la sorte ! Cordelia : Bien, une bonne chose de réglée. Et si tu me parlais de tes histoires d'amour ? Frederick : Ahem. Pourrions-nous remettre cela à plus tard ? À bien plus tard... ? [b][u]Rang A[/u][/b] Cordelia : Frederick ! Frederick : Vous semblez radieuse ! Avez-vous quelque motif à vous réjouir ainsi. Mademoiselle ? Cordelia : Pas encore, mais ça ne saurait tarder. Frederick : Vraiment ? Ravi de l'apprendre. Cordelia : Tu es toujours prêt à m'aider, n'est-ce-pas ? J'ai une faveur à te demander... Frederick : Si je suis en mesure de me rendre utile, avec plaisir. Cordelia : Parfait ! Dans ce cas, enfile tes bottes ! Nous sortons. Frederick : Nous sortons ? Est-ce notre tour de faire les prévisions ? Cordelia : Non, nous ne partons pas nous ravitailler. Ça va être bien plus intéressant que ça ! Frederick : Je pressens comme une menace voilée. Une vive appréhension me parcourt le corps. (L'ai-je insultée à mon insu lors de notre dernière rencontre ?) (Sa colère serait telle qu'elle veut me faire payer l'affront qu'elle a subi ?) (Diable ! Elle va probablement m'attirer dans un bois retiré pour me poignarder !) Cordelia : Qu'est-ce que tu marmonnes ? J'aimerais que tu me parles de ta vie affective. Tu aimerais soulager ton cœur, mais tu as peur de faire le premier pas, n'est-ce-pas ? Nous nous retirerons donc dans un lieu calme et paisible pour régler cette affaire. Frederick : Euh, comment cela ? Cordelia : J'ai déjà trouvé le lieu qui convient pour ne pas être importunés. J'ai même préparé des gâteaux ! Mmm... Frederick : Cordelia, malgré toute votre préparation, vous avez commis une erreur fatale... Vous n'avez point envisagé que je refuse votre invitation ! Cordelia : Oh si, j'ai tout prévu. Si tu refuses, il me faudra manger tous mes gâteaux. Je me suis donc limitée à mes gâteaux favoris : myrtilles, miel, amandes et prunes. Frederick : Je vois... Force est de reconnaître que vous n'avez dans ce cas commis aucune erreur. Il ne me reste donc plus qu'à affronter le destin et à vous faire cette confidence. Mais à une condition : j'attends de vous que vous me parliez en premier de votre vie affective. Cordelia : C'est d'accord. Tiens-toi prêt, Frederick. J'ai beaucoup de choses à te raconter ! [b][u]Rang S[/u][/b] Cordelia : Frederick ! Quand allons-nous enfin discuter de ta vie amoureuse ? Frederick : Nous avons déjà abordé le sujet, il me semble... Cordelia : Nous y avons consacré toute une après-midi mais tu n'as pas pipé mot ! Frederick : J'étais peut-être noyé sous le flot incessant de vos propres paroles... Cordelia : Qu'est-ce que tu insinues ?! Que je parle sans m'arrêter ? Frederick : Avez-vous ne serait-ce qu'un vague souvenir de notre « conversation » ? Vous avez parlé deux longues heures de votre amour non partagé pour Chrom... Entre pleurs et étranglements, vous répétiez « Pourquoi, Frederick ? » Vous avez ensuite dévoré vos gâteaux et pris la fuite avec votre panier. Cordelia : Euh... Merci de m'avoir rappelé cet... incident... Mais je te promets que notre prochaine discussion sera bien moins embarrassante ! Cette fois, nous ne parlerons que de toi. J'écouterai attentivement ce que tu as à me dire. Je te serai entièrement dévouée l'espace d'une journée pour me faire pardonner ! Frederick : J'ai votre parole d'honneur ? Cordelia : Absolument ! Frederick : En ce cas, je puis commencer mon histoire sans attendre. Cordelia : Parfait ! Frederick : Hem... C'est donc l'heure des confessions... Il ne s'agit point de me dérober... Bien, la vérité est que... Je voudrais vous dire simplement que... Je vous aime. Cordelia : Quoi ? C'est une plaisanterie ? Si c'est le cas, c'est de mauvais goût ! Les autres sont cachés derrière cet arbre, n'est-ce-pas ? Frederick : Je suis parfaitement sérieux, Mademoiselle. Cordelia : Mais je croyais que... Quand je te disais de me parler de tes histoires d'amour... J'étais loin de m'imaginer qu'elles me concernaient personnellement... Frederick : Je le sais bien. Je sais aussi que vous aimez Chrom. Malgré cela, je ne pers pas espoir. Mon but n'est pas de parler en mal de lui, puisque je suis à son service. Mais moi, Cordelia, je ne vous tirerais pas des larmes amères comme il le fait lui. Moi, je vouerais mon existence à vous rendre heureuse. Cordelia : Frederick... Quand tu parles de cette façon, je sais que tu dis la vérité. Car c'est bien ce que je ressens à longueur de journée. Même si c'est à l'égard de Chrom que je ressens toutes ces choses... Frederick : De la même façon que vous aimez éperdument Chrom... … mon amour pour vous me brûle la poitrine. J'en veux pour preuve ceci. Cordelia : Une bague de fiançailles ? Frederick : Peu importe si votre cœur ne m'appartient pas. Il me reste l'espoir qu'un jour vous finirez par éprouver de l'amour à mon égard. Voulez-vous être ma femme, Cordelia ? Cordelia : Oh, Frederick, c'est... Oui, j'accepte ! Frederick : Vous acceptez ? Cordelia : Chrom ne m'aimera jamais. Quelque part, je l'ai toujours su. Et je suis fatiguée de cet amour non réciproque. Rien qu'à y renoncer, je me sens plus légère, tout d'un coup. Merci, Frederick. Merci de m'avoir montré la réalité en face ! Si je promets de n'aimer que toi, feras-tu de moi la plus heureuse des femmes ? Frederick : Je le jure.[/align] [align=centre][url=https://communaute-fireemblem.fr/fireemblem.php?version=13&sous_categorie=841]Tous les soutiens de Cordelia[/url][/align] [align=centre][url=https://communaute-fireemblem.fr/fireemblem.php?version=13&sous_categorie=973]Tous les soutiens de Frederick[/url][/align]
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